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  lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.

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Eukleia

Eukleia

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MessageSujet: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 4:10


 lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. Nu-au-nutella
Faim. Elle avait faim. Mais alors mais une faim incroyable qui venait de la prendre subitement alors qu’elle dormait à poings fermés. Cela ne lui arrivait pas souvent mais là elle savait qu’elle allait devoir se lever pour grignoter quelque chose. Eukleia s’extirpa du lit en essayant de ne pas réveiller Serafin qui était en position fétus dans le lit, l’adorable petit chou. Tout le monde dormait d’un sommeil très lourd dans le dortoir si bien que quand elle cogna son genou au lit de Vixy et Saphyr tout en poussant un juron, personne ne cilla. Elle regarda bien devant elle jusqu’à la porte qu’elle entrouvrit à peine. Il faisait frai dans les couloirs en comparaison à la chaleur qui grandissait chaque nuit dans les dortoirs. Elle marchait lentement, en nuisette, ses pieds en contact avec le sol froid. Il lui fallait monter au deuxième étage pour se rendre dans la cuisine où se trouvait le stock de nourriture. Rien que d’y penser, la sorcière sentait que son vente se resserrait un peu plus. Elle accéléra le pas. Arrivée en haut des escaliers, au niveau deux, elle s’empressa de se diriger vers le garde-manger quand soudain elle aperçut une silhouette noir s’engouffrer dans ladite cuisine. Merde. Le château était bel et bien hanté. Arg, saleté Vieille Peau, elle leur en faisait voir des vertes et des pas mures. Eukleia avait certes très peu envie de se retrouver nez à nez avec un esprit ou une créature du genre – à moins qu’il ne s’agisse d’un des vampires du château – mais son ventre qui criait famine se fichait bien de ce qui pouvait se trouver dans la cuisine et lui dicta de s’y rendre promptement. Elle ne pouvait résister à ses envies de manger et sur la pointe des pieds elle s’approcha de la porte et jeta un coup d’œil discret dans la pièce pour y apercevoir… Sullivan ? Qu’est-ce qu’il foutait là ? Et… pourquoi il se cognait aux meubles comme ça ? Elle oublia sa discrétion et entra dans la pièce pour lancer au loup : « Hé, qu’est-ce qui t’arrive ? Faut ouvrir les yeux quand on marche. » Aucune réponse. Eukleia grimaça. C’était quoi son problème ? Elle fit quelques pas et se plaça devant lui pour se rendre compte qu’il était… somnambule. Elle esquissa un sourire. S’il ne s’était pas réveillé quand elle lui avait parlé c’était qu’il devait avoir un sommeil lourd, même en tant que somnambule ce qui signifiait que… Elle allait pouvoir lui faire touuut ce qu’elle voulait ! Ne vous méprenez, elle n’a pas l’esprit aussi mal placé que vous – Bon, si ok, elle y avait pensé… mais elle a vite écarté l’idée. Elle l’observa un moment pendant qu’il restait planté au beau milieu de la cuisine. Elle en avait même oublié sa faim, tellement les conneries bouillonnaient et se bousculaient dans son esprit concernant ce qu’elle pourrait bien faire subir au jeune vantard. Elle jeta un coup d’œil dans le placard plein de nourriture et, d’une main déterminée, elle attrapa un pot de pâte à tartiner ainsi qu’une cuillère. Atelier art n°1. Consigne : peinture sur corps humain. Ahah. Sullivan était en caleçon, ce qui était d’autant plus amusant qu’il y avait plus de surface à… peindre avec ce chocolat gluant. Elle commença son affaire, badigeonnant la pâte à tartiner un peu partout sur le corps du loup. Elle se recula pour observer son œuvre : il était presque sexy comme ça. C’était pas mal excitant. Sullivan au chocolat. Hum. Dommage qu’il s’agisse de Sullivan, Eukleia aurait préféré tomber sur un autre somnambule, mais après tout on fait avec ce qu’on a, hein ? Il manquait seulement une petite touche. Un sourire narquois sur le visage, elle plongea la cuillère dans le pot et se rapprocha de Sullivan. Ses petits doigts habiles soulevèrent l’élastique du caleçon du vantard et elle plongea la cuillère au niveau de son entre-jambe, histoire que son corps en entier soit chocolaté. Ok, c’était un peu pervers, mais elle n’avait à l’instant que dans l’idée de l’embêter… ET MERDE. Il se reveillait. Elle lâcha le pot de chocolat et la cuillère au sol et se releva avec un air horrifié sur le visage. « Sulli ! Mais qu’est-ce qui t’as pris ? Je rentre tranquillement dans la cuisine pour manger un morceau et je te trouve en train de te… recouvrir de pâte à tartiner ! Tu débloques, mon pauvre. » Le mensonge pouvait parfois sortir de situations assez… gênantes.


Dernière édition par Eukleia le Sam 11 Mai - 22:15, édité 1 fois
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Sullivan

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 lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. Empty
MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 6:37

J'émerge assez lentement de mon sommeil, constatant avec surprise que je ne suis pas tranquillement en train de roupiller sur mon lit. Je me demande si je suis en plein cauchemar, parce qu'il y a la ventouse plantée devant moi, mais je réalise que la scène est bien réelle lorsqu'elle commence à jacasser. Je ne comprends pas tout de suite ce qu’elle est en train de raconter, parce que je suis trop occupé à scruter la nuisette qui ne recouvre que partiellement son corps. J’hallucine, elle me provoque la conne, c’est un appel au viol. Et puis les mots qu’elle vient de prononcer prennent sens, lentement, et je fixe mes yeux sur mon torse recouvert de chocolat. Sérieusement ? Attendez là, elle essaie vraiment de me faire croire qu’elle est innocente dans cette affaire ? Si elle s'imagine que personne ne m'a jamais fait de blagues pourries dans ce genre pendant que je me trimbalais en pleine nuit -parce que c'est bien de mon somnambulisme dont il s'agit, je présume-, elle se goure. Je fais dévier mon regard sur la cuillère et le pot de pâte à tartiner qui trône devant ses petits pieds nus, légèrement sceptique. « La prochaine fois que t’essaies d’inventer un bobard plus gros que tes fesses de baleine, essaie de ne pas faire tomber l’arme du crime à tes pieds. » Je lui fais remarquer, un sourire au coin des lèvres. Non parce que là du coup, c’est un peu raté. Pourtant elle n’est pas blonde, elle n’a aucune excuse. A croire que le botox a empoisonné quelques-uns de ses neurones. Et puis je réalise un truc particulièrement désagréable –qui pourrait être drôlement plaisant, dans d’autres circonstances-. Cette sale ventouse a violé mon intimité. Je le sens quand même, parce que ce n’est pas le genre de sensation naturelle qui passe inaperçue. « C’est dingue, c’est une obsession chez toi de mater là-dessous ! » Attendez, ça fait quand même deux fois qu’elle s’en prend à mon engin la nana. En fait c’est certainement qu’elle n’avait en fait rien vu la première fois, et qu’elle voulait quand même vérifier sa petite théorie fumeuse concernant ce qui se cache sous mon caleçon. Alors, satisfaite ? « Je sais bien que ça t’ai vraiment excitée l’autre fois mais quand même, faut savoir se contrôler hein. » Je dis ça le plus naturellement du monde, faisant glisser un doigt sur mon torse avant de l’introduire entre mes lèvres. Ouais, pas mauvais ce truc, c’est même plutôt bon en fait. Quand même, la nana vient de me transformer en statue de chocolat géante, c’est bizarre comme envie, non ? Je m’approche tout en parlant, essayant de faire diversion avec mes vannes et de l’agacer par la même occasion, puis je me précipite pour combler les derniers mètres avant de la prendre dans mes bras. Oh putain, c’est génial comme sensation. Pas parce que je sens sa poitrine s’écraser contre mon torse –quoique peut-être un peu-, mais surtout parce que mon gros câlin vient de l'enduire de pâte à tartiner. Eh ouais meuf, fallait pas me chercher. « Et t’allais faire quoi après exactement, lécher le chocolat ? Si tu veux je fais semblant de me rendormir … » Je lui glisse à l'oreille en ricanant. Je peux toujours me dévouer franchement, si y’a besoin.
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Eukleia

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 7:12

Eukleia le regardait émerger de son sommeil mouvementé avec un pauvre petit sourire cloué sur les lèvres. Elle venait de se rendre compte de ce qu’elle venait de faire et… c’était carrément débile. Il avait raison le Sullivan, c’était elle qui devait débloquer. M’enfin, s’attaquer à ses fesses une nouvelle fois – je veux dire critiquer ses fesses… - était assez petit, tout de même. Elle fit mine de se renfrogner même si elle avait l’envie folle d’éclater de rire. En vérité, plus elle regardait son chef d’œuvre – et Sullivan n’était en rien dans la beauté de ce qui se trouvait devant ses yeux, le chocolat faisait tout – elle se rendait compte qu’elle avait peut-être crée une forme d’art contemporain… A moins que cela n’existe déjà. Et elle avait de plus en plus de mal à se retenir de rire. Il fallait qu’elle parle histoire de calmer ce fou rire naissant. Ouais, il fallait qu’elle nie. Tout en bloc. « Mais t’étais tellement vulnérable ! J'ai pas pu m'en empêcher. C'tait une farce quoi. » Shit. Pourquoi elle était obligée de lui avouer si rapidement ? La fatigue surement, sa ténacité n’y était plus. Et puis elle trouvait même quelque peu amusant d’avouer ce crime si cocasse. AHHH. Il parlait de son engin et elle se rendait soudainement compte de quelque chose. Elle n’avait même pas pensé à regarder quand elle étalait le chocolat à l’aveuglette histoire de vérifier ce qu’elle avait entraperçu l’autre soir dans le lac ! Le mythe de la petite kékétte restait tout entier. C’était dingue. Elle se demandait comment elle n’avait pas pu jeter un coup d’œil. Elle devait être tellement occupée à son jeu de gamine qu’elle s’était comportée comme telle : la prude enfant qui ne s’approche pas du loup. Elle répondait quoi maintenant à ce fichu vantard ? « Je suis déçue, dude. Je me disais qu’au final je m’étais peut être trompée... Mais non. Dommage. » Pourquoi elle avait ajouté un dommage, elle ? Oh merde. Il va croire qu’elle prévoyait de faire quelques bêtises – oula parce que oui, ça serait une belle connerie – avec lui. « Pour Fauve ! » rajoute-t-elle avec un sourire au coin des lèvres. L’histoire avait eu le temps de faire le tour du château en une semaine : Sullivan avait enfin assouvi les besoins de notre drogué de service. Mais apparemment… ce n’était pas de la bonne came. Eukleia se mordillait la lèvre histoire de contenir un rire. Elle aurait paru encore plus ridicule de s’esclaffer devant ce qu’elle venait de faire qui, en passant, était parfaitement stupide. Hé ! mais il foutait quoi ? Le voilà qui vient coller son corps contre Eukleia. C’était malin ça. C’était la seule nuisette qui lui restait, les autres étaient au pressing. Elle était désormais toute couverte de chocolat. Mais à part le fait que sa nuisette allait lui manquer pour le reste de la semaine, cela ne lui déplaisait pas tout à fait. Elle trempa son doigt sur l’épaule de Sullivan et, tandis qu’il se penchait vers son oreille, elle avala le chocolat. « Et t’allais faire quoi après exactement, lécher le chocolat ? Si tu veux je fais semblant de me rendormir … » Son petit ricanement embêta Eukleia. Il croyait de ces trucs lui. Encore faire semblant d’avoir couché avec Adonis ou d’en avoir l’envie, OK. Mais avec Sullivan cela aurait été sa dignité qu’elle aurait perdu. « Je ne t’aurais pas fait ce plaisir, p’tit loup. Seul le chocolat est appétissant sur ton corps, actuellement, et j’ai plein de pots de pâte à tartiner à ma disposition si jamais ! » C’était bizarre. Pourquoi ne desserraient-ils pas leur étreinte ? Si Eukleia n’avait pas du tout envie de faire quoi ce soit de plus poussé avec Sullivan, elle aimait pourtant bien sa manière de la serrer dans ses bras. Bien sûr, elle ne lui avouerait pas. Ce serait encore une fois perdre un peu de sa dignité. A croire que lui aussi aimait bien ça. Elle posa sa tête sur son épaule, en continuant à manger le chocolat du bout de ses doigts. « Avoue, t’aime bien être enduis de chocolat. » Cette phrase aussi était bizarre.
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Sullivan

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 9:01

Et voilà, la référence à mon séjour dans les oubliettes avec Fauve était tombée. Je savais bien qu’elle raffolait des ragots cette sorcière, mais je n’allais pas alimenter ses sources pour autant. J’aurais pourtant bien répliqué un truc du genre ‘ça n’avait pas l’air de la déranger, t’inquiètes’, mais ça ne fait pas très gentleman. « Faut croire que la taille importe peu, j’ai entendu dire que le bûcheron n’était pas un si bon coup que ça. » Si elle veut jouer à ce petit jeu, j’ai aussi des cartes en main. Bien sûr je suis parfaitement conscient que ce n’est que du vent, j’imagine mal le loup-garou arriver à se faire la ventouse aussi facilement, la meuf l’aurait castré avant qu’il arrive à sa culotte. Quoique je l’imagine bien cacher son jeu la gonzesse, avec son petit sourire mutin ça se voit qu’elle ne demande que ça. Mais eh, elle est du genre à te faire tourner en bourrique pendant des semaines, pas le type de combat que je suis prêt à mener. Et puis c’est bien plus amusant de la provoquer jusqu’à ce que mort s’ensuive, vous ne trouvez pas ? Surtout qu’elle a récupéré son sens de l’humour. Aussi je ne manque pas de l’enlacer sans lui demander sa permission –comme si c’était mon genre-, mais ça n’a pas vraiment l’effet escompté. Je ne comprends pas trop sa première phrase, de toute façon je n’ai pas grand-chose d’autre que du chocolat sur le corps, mais bref, ce n’est pas ça qui m’intéresse. Non, le truc c’est qu’elle ne me repousse pas, ni avec ses bras ni avec un sort. Elle reste collée à moi, et pose même sa petite tête sur mon épaule nue. Euh, elle fait quoi là ? Je vous avais bien dit que cette meuf était une vraie allumeuse ! Je la chope ? Non quand même, je ne vais pas lui refaire le coup ce serait moyennement original, et puis j’aurais bien trop peur de me faire aspirer. J’ai eu de la chance une fois, n’allons pas tenter le diable. En plus c’est agréable, de serrer un corps plein de chocolat dans mes bras, alors je ne suis pas près d’esquisser le premier geste pour me dégager d’elle. « Je préfère quand c’est pour que quelqu’un le mange ensuite mais bon, puisque ce n’est pas ton intention … » Attendez, elle n'est pas en train de lécher ses doigts là ? J'croyais qu'elle n'avait pas envie de faire ça. Je vous l'avais dit, qu'elle aimait faire tourner les gens en bourrique. Finalement je m'écarte un peu de son corps, la gardant dans un seul bras en tournant mon visage vers elle. Juste un peu, parce qu'elle est quand même très près. Et puis je fais courir mes doigts libres sur sa nuisette, effleurant sa poitrine en les recouvrant de chocolat. Oups, pas fait exprès -vous y croyez ?-. Et je les étale sur sa joue, comme des peintures de guerre. « T'es presque mignonne comme ça. » Je lâche dans un sourire. Ouais, j'ai bien dit "presque". Cette fois je m'écarte complètement pour la laisser plantée là, m'approchant du plan de travail sur lequel trône une bouteille d'eau. Je retire le bouchon pour en verser le contenu sur mon torse -ouais non, vous avez remarqué que je ne me la joue pas beau gosse en la versant sur ma tête avec un air de séducteur, même si j'y ai pensé, j'avoue-, juste la moitié. Parce que je m'approche de nouveau de la ventouse en frottant mon torse, genre super concentré sur ce que je fais, avant de lui verser le reste sur la nuisette par surprise. Oh merde, mais ... ce ne serait pas devenu transparent par hasard ? Je crois qu'elle en a pris un peu dans les cheveux aussi, et que je viens de grimper un barreau sur l'échelle de l'emmerdement. Yes.
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Eukleia

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 9:42

C’était drôle qu’il mette sur le tapis l’histoire avec Adonis – bon parce que ça pouvait être que lui qu’il nommait ‘le bucheron’ – d’autant que ce n’avait été que pure comédie. Allaient-ils ressortir potins sur potins comme cela ? « C’est vrai que c’était pas terrible. Il est bien d’avoir la taille, mais il faut aussi savoir s’en servir. Mais bon, quand tu ne l’as pas… pas moyen d’essayer d’exceller. T’en sait quelque chose nan ? » Il avait dû préférer couper court à ce semblant de conversation, pensant qu’il valait mieux l’embêter que d’être assailli par des vérités trop blessantes. Le câlin de chocolat avait été, peut être une sorte de petite excuse pour ne pas répondre à cette question embarrassante – à moins qu’Eukleia ne se fasse des idées. Mais ce ne semblait pas être la seule raison… Il était clair que Sullivan avait des idées derrière la tête, et la sorcière était bien décidée à jouer avec ses hormones cette nuit-là. Et ces idées étaient trahies dans ses quelques paroles, lorsqu’il regrettait qu’elle n’ait pas eu l’envie de lécher son corps enduis de chocolat ou encore quand il… attend qu’est-ce qu’il venait de faire là ? Ses mains étaient en effet un peu trop baladeuses et étaient même venues se promener le long de la courbe des seins d’Eukleia qui assena à sa main une petite tape. Elle n’était pas prête à revivre l’énervement qu’elle avait connu ce soir-là dans le lac quand il avait tenté de l’embrasser – un baiser qui ressemblait plus à l’action d’un aspirateur ; il lui avait presque gobé les lèvres. Et d’ailleurs tout ce petit jeu l’excitait presque, même si elle ne se l’avouait presque pas. Il était temps de jouer avec ce monsieur Sullivan et de sortir sa carte de chavireuse de cœur – même si l’organe en question le plus souvent se trouvait bien plus bas.
Après avoir offert un semblant de compliment à Eukleia auquel elle répondit par un : « Presque ? » un peu boudeur, le jeune homme avait vidé une moitié de bouteille sur son torse avant de jeter le reste du contenu sur la nuisette de la sorcière. Elle eut le temps de voir ses yeux se jeter immédiatement vers sa poitrine, à présent révélée étant donné que sa nuisette était devenue transparente, et descendre le long de la courbe de son corps. « C’est malin. » lança-t-elle, faisant mine de se renfrogner. Calculant le moindre de ses gestes, Eukleia souleva un peu sa nuisette comme pour l’essorer laissant volontairement apparaître sa culotte aux yeux de Sullivan. Il voulait jouer à ça ? Hé bien, jouons. Elle commençait à trembler de froid, maintenant qu’elle était entièrement trempée. Soulevant les épaules, elle mima une sorte de ‘oh mince alors, j’ai plus trop le choix là’ et aussitôt elle enleva entièrement sa nuisette, ses seins dénudés à la vue du loup aux hormones qui devaient complètement chavirer. Elle tourna le dos à Sullivan, s’approchant de l’évier et commença à essorer son vêtement. Il devait être fou le pauvre derrière elle. C’est qu’il avait voulu jouer. Elle souleva ses cheveux, comme pour les remettre en place. Elle sentait le regard de Sullivan se poser sur les courbes de son corps - corps un peu enduis de chocolat et sur-lequel des gouttes d'eau ruisselaient. Comme si c'était un appel. Certes, Sullivan l'avait déjà vue nue, mais ce soir-là la donne avait changé : elle était parfaitement visible sous les lumières de la cuisine et n'affichait pas une intense colère.

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 10:31

Elle ne s’énerve pas. Elle me montre sa culotte. Elle me montre ses seins. HEIN ? Je crois que je m’étouffe avec ma propre salive, parce que je commence à tousser. Trois fois, quatre fois. Mais, elle ne va pas bien ou quoi ? Pourquoi elle se désape devant moi genre, je vais laver ma nuisette à l’ancienne en te balançant mes seins sous le nez ? Alors qu’elle était prête à m’étriper. Deux fois. Je jette un coup d’œil à la caméra genre, venez moi en aide. Parce que j’étais convaincu d’être à Golden Valor, une émission où les gens s’arrachent les bras, se crachent dessus, s’étripent à mains nus. Je ne m’attendais pas vraiment à voir deux poitrines en deux semaines, et encore moins exposées de façon parfaitement volontaire. A tous les coups c’est une technique de combat ancestrale, un truc qui te bouffe lentement le cerveau. Elle essaie déjà de me déstabiliser pour le prochain duel, mais si elle croit que je vais l’épargner parce qu’elle me permet de lorgner son corps dénudé … Ouais je mate, évidemment. Je penche même la tête légèrement sur le côté. N’importe quel candidat dans ma situation en profiterait –sauf les gays-, et même certaines candidates d’après ce que j’ai compris. Je fixe la courbe de son cou qu’elle expose –de façon totalement calculée, j’en suis certain-, j’ai toujours eu un truc avec les cous, les nuques, les cheveux. Enfin vous voyez quoi. Puis je siffle entre mes dents, comme le bon mec rempli de testostérone qu'elle imagine que je suis. « Joli ... » Cul. « ... dos. » Mais si elle croit que je n’ai pas compris son petit jeu, elle se plante le doigt dans l’œil. Je les connais les meufs dans son genre, elles te tendent une gamelle bien pleine avant de te la retirer au dernier moment et de te laisser crever la dalle. D’un côté j’ai bien envie de l’envoyer chier et la planter à moitié à poil dans la cuisine, pour lui faire comprendre que ça ne prend pas. D’un autre côté, je serais bien con de ne pas en profiter un peu, n’est-ce pas ? Alors j’attrape un torchon avant de m’approcher de la silhouette qui se tortille pour m’aguicher –ce qui fonctionne assez bien, il faut l’avouer-, le déposant sur ses épaules. « Ce serait bête que tu attrapes la crève. » Non, je n’ai aucune intention de la réchauffer avec mon sang de loup-garou. Enfin, pas tout de suite. Puis je m’accoude sur le lavabo à ses côtés, légèrement avachi, observant son visage pour tenter de déchiffrer son expression. Et mon doigt s’approche pernicieusement de son corps à moitié nu, frôlant sa clavicule tâchée de chocolat pour récolter la pâte. Pour rendre service, évidemment. « Tu t’y prends mal. » Je lui lance en attrapant soudain sa nuisette, lui arrachant des mains. Puis je m’écarte en souriant d’un air triomphal. Ca ne la dérange pas de se balader à poil devant moi, j’imagine que si elle croise un autre candidat, alors tant pis. D’ailleurs, je tourne vivement la tête comme si je venais de percevoir un bruit. « On dirait qu’on va avoir de la visite. » Je lâche d’un ton neutre. Et c'est parfaitement crédible, parce que mon ouïe est plus développée que la sienne.
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Eukleia

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyMer 8 Mai - 10:52

Il avait vu clair dans son jeu. Merde alors, elle avait perdu de l’entraînement depuis qu’elle était entrée dans Golden Valor et qu’elle ne fréquentait que des demi portions et des gays. Et elle n’aimait pas ça. Il ne rentrait même dans son jeu et ça la mettait presque en rogne. Oui, Eukleia détestait perdre. Et là, elle avait presque perdu. Malgré l’excitation qu’elle avait créé chez Sullivan, il était clair qu’il avait compris que le but n’était que là : le chauffer, et il voulait y mettre court. Alors il se ramenait avec son torchon dégueulasse qu’il lui mettait sur les épaules. Elle le repoussa d’un geste de la main. « Ça va pas, toi ? Je ne mets pas ça sur ma peau. » Elle le vit s’assoir sur le comptoir et la regarder du coin de l’œil. Du moins, il ne restait pas indifférent à ses charmes ça c’est certain. Il sortit un petit : « Tu t’y prend mal. » tout en lui arrachant sa nuisette des mains alors qu’elle était sur le point de la remettre – non qu’elle soit réellement pudique mais elle commençait à avoir sérieusement froid là. « Hé, tu fais quoi ? Rends-moi ma nuisette s’il te plait. Je suis gelée. » Lança-t-elle abandonnant toute opération séduction volontaire - mais bien sûr étant toujours nue devant ce monsieur, l’opération continuait pas tout à fait de plein gré. Et puis, il critiquait sa manière de sécher son vêtement de nuit ou sa manière de faire bouillir ses hormones ? Si c’était la deuxième solution, elle était prête à lui arracher les yeux à ce bougre. Soudain – alors qu’elle pensait à la manière dont elle lui faire manger sa langue (s’entend par la langue de Sullivan, par Sullivan) – elle le vit tourner la tête et affirmer que quelqu’un venait. Eukleia bailla. Elle s’en fichait bien. Et maintenant qu’elle sentait toute ses envies de séduction tomber, elle se dirigea vers le placard pour y prendre un pain au lait qu’elle commença à grignoter. Puis, elle lança un : « Faut croire que personne vient. Dommage, j’aurais peut être eu droit à de la compagnie un peu plus intéressante. » D’un doigt, elle attrapa le peu de chocolat qui restait sur son propre cou et le mit dans sa bouche. Hum, ça restait délicieux, même avec le gout amer de la défaite en arrière-plan. Défaite ? Il fallait voir comment Sullivan la dévorait des yeux pour comprendre que ce n’était pas tellement une partie perdue… « Bon, rends-moi ma nuisette, maintenant. » dit-elle, d’une voix qui restait encore peu autoritaire. Mais comme il ne semblait pas vouloir lui rendre de plein gré, elle prononça un sort d’attraction et le vêtement atterrit directement dans sa main levée. Il était encore trempé. Tant pis. Elle l’enfila. « Voilà, c’était pas si compliqué » ajouta-t-elle avec un sourire à demi-forcé tout en attrapant un nouveau pain au chocolat.

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Elle frissonne, et je me trouve un peu salaud. Mais eh, c’est elle qui a retiré ses vêtements. C’est moi aussi qui l’ai trempée, c’est vrai, en même temps c’était trop tentant. On ne se trimbale pas en nuisette devant moi sans en payer les conséquences. Et visiblement, la ventouse est vexée de n’avoir pu faire durer son numéro de charme bidon. Je le vois bien, parce qu’elle a cette ride qui se creuse dans le front –un peu bizarre de savoir ce genre de truc, non ?-, et qu’elle me fixe avec une pointe d’agacement. Je jubile d’être parvenu à déjouer ses plans machiavéliques de sale peste, mais quand elle dit un truc sur une compagnie plus intéressante, j’ai soudain un doute qui me tenaille. Et si la ventouse voulait vraiment se faire baiser là, sur le plan de travail ? Parce que ne nous voilons pas la face, j’ai bien compris qu’elle avait envie de moi depuis le début de l’aventure. Je n’pensais pas qu’elle en prendrait conscience si tôt, aussi j’ai tout de suite flairé l’embrouille quand je l’ai trouvée si aguicheuse. Mais en fait, j’ai peut-être mal distribué mes surnoms. Si c’était elle en fait, la folle du cul de cette émission ? Et si cette histoire avec le bûcheron, ce n’était pas que du vent ? Bon en même temps j’espère dans un coin de ma tête que ce ne sont que des « on dit ». Et puis je me demande pourquoi j’espère ça. C’est stupide. « Je crois qu’on est parti sur de mauvaises bases. » Je m’avance vers elle, m’asseyant sur le rebord de la table. Puis j’attrape sa main libre entre la mienne pour l’attirer à moi, debout entre mes jambes. « T’as enfin réalisé qu’on est fait l’un pour l’autre, c’est ça ? » Je lui demande en haussant un sourcil, les mains posées sur ses hanches. C’est la seule explication. Elle en a sûrement pris conscience alors qu’elle s’étalait sur moi, sur le balcon capricieux. Quand j’y pense, c’est à partir de ce moment précis qu’elle s'est adoucie. Et elle a peut-être voulu tenter le tout pour le tout en me recouvrant de pâte à tartiner ce soir, en se désapant carrément devant moi. Et comme un con, je l’ai envoyée chier. Merde, est-ce que je suis trop parano ? C’est ce jeu aussi, ça me parasite sérieusement le cerveau. « En plus c’est pas une bonne idée de remettre un vêtement mouillé, tu vas trembler comme une feuille. » Et je remonte ma main droite pour venir faire glisser une bretelle en effleurant son épaule, innocemment –bien sûr-. « Une chance pour toi, j’ai le sang bouillant. » Je ne précise pas si c’est à cause d’elle ou de ma nature de loup-garou, sans doute un peu des deux. Mais c'est un fait, elle le sent probablement puisque mes cuisses touchent les siennes. Puis je tire doucement pour la rapprocher un peu plus, genre, tu veux que je te fasse une petite démonstration ? « T’as encore du chocolat. » Je lâche, mes iris bleus braqués sur la joue creusée d'une fossette que j’ai recouvert. « J’ai faim. » Ok, vous pigez la connexion ?
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Elle était presque boudeuse, mangeant son pain au chocolat en silence. Elle engouffrait les calories histoire d’oublier un peu qu’elle venait de rater son opération séduction mais elle oubliait que ce n’était pas fini. Du moins, cela avait cogité dans la tête de Sullivan car, déjà, il lui expliquait qu’ils étaient partis sur de mauvaises bases – pas faux… - et il l’attirait à lui, entre ses jambes. Genre invitation. Elle ne put s’empêcher de froncer les sourcils et elle avala le morceau de chocolat qui restait dans sa bouche. Oh merde. Mais qu’est-ce qu’il était en train de faire là ? Attendez, il venait bien de dire ‘fait l’un pour l’autre’ à côté de ‘tu as réalisé’ ? Elle allait s’étouffer. Putain, il devait le faire exprès pour qu’elle s’étouffe avec ce qu’elle venait de manger ! Eukleia leva ses yeux vers lui. Il semblait réellement sincère et déjà ses mains venaient se balader sur les cuisses de la sorcière qui restait muette. Elle avait envie d’éclater de rire. Mais elle se rendit compte qu’il serait réellement méchant d’éclater de rire devant quelqu’un qui vous faisait une telle déclaration. Il fallait qu’elle retienne ce foutu fou rire qui s’approchait dangereusement de ses lèvres. Elle restait statique, sans rien dire, trop occupée à penser au fait de ne pas rire. Mauvaise idée, cela amplifiait l’envie. Bon, allez ! Il fallait qu’elle pense à quelque chose de triste. Bordel un truc triste ! Mais la phrase qu’il venait de prononcer accolée à tous les épisodes qu’elle avait vécu avec lui se bousculaient dans son esprit.
Les avances que faisaient Sullivan devenaient de plus en plus pressantes et elle, elle restait sans rien dire, incapable de trouver la réaction qu’elle devait adopter. La manière dont il venait de faire tomber sa bretelle et dont il l’avait un peu plus rapproché de son corps palpitant ne déplaisaient pas forcément à Eukleia… bien au contraire. Elle pensa un instant qu’elle se laisserait bien tenter alors qu’elle sentait le rythme cardiaque de Sullivan s’accélérer. Elle sentait ses mains descendre le long de ses cuisses puis remonter un petit peu trop et ne put retenir ses propres mains qui vinrent se poser sur les jambes de Sullivan toujours assis devant elle. Contre elle. Pourtant, elle savait qu’elle ne devrait pas faire ça. Elle ne devrait pas se laisser avoir par lui aussi facilement, ce serait perdre un peu de sa dignité elle qui avait tout fait pour le repousser depuis le début de l’aventure. Elle se demandait si elle devait réellement coucher avec ce vantard, celui-là même qu’elle avait voulu pulvériser une nuit dans le lac, celui qui avait fait une remarque déplacée sur son père. « T’as encore du chocolat… J’ai faim. » Lançait-il. Généralement, dans toutes les relations qu’elle avait eu – et elles étaient nombreuses – c’était elle qui tenait le rôle de Sullivan. Celui qui initiait la chose. Celui qui faisait craquer l’autre. Et il était presque inconcevable pour elle d’être la fille qui craquerait. Pourtant, ses pensées s’embrouillaient. Elle sentait son corps se réchauffer alors qu’en vérité elle tremblait toujours. Elle ne contrôlait plus rien. Elle détestait ne plus rien contrôler. Ses lèvres se perdaient déjà sur celles de Sullivan. Leurs langues s’entrelaçaient. Elle se rapprochait un peu plus de lui, sans s’en rendre véritablement compte. Il n’embrassait pas si mal que ça au final. L’épisode du lac avait été une erreur de parcours mais… QUE FAISAIT-ELLE ? Elle sentait sa nuisette tomber le long de ses épaules. Et, enfin, elle décida que c’était à présent à elle de mener la danse. Elle stoppa le baiser et rattrapa la nuisette pour la remettre le long de ses épaules tout en posant son doigt sur les lèvres du loup-garou. Elle se recula d’à peine quelques centimètres, restant toujours assez près afin que Sullivan sente toujours son corps contre le sien. Elle se murmura : « Tu ne m’auras pas aussi facilement, Sullivan. Je me souviens bien de ce qui s’est passé entre nous. » Rancunière ? Oui. « Et… il va falloir encore un petit peu travailler pour réussir à obtenir quelque chose de moi. » Elle savait qu’il n’allait rien lâcher. Il était bien trop excité. C’était désormais à lui d’essayer de la convaincre. Elle aimait ça.
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Je vais la faire craquer. Je le sens, parce que sa poitrine se soulève plus rapidement que tout à l’heure, parce qu’elle me fixe longuement comme si elle réfléchissait à la meilleure chose à faire, parce qu’elle pose ses mains froides sur mes jambes. Je crois que je le sens surtout lorsqu’elle plaque ses lèvres contre les miennes, et que mon dos se redresse de surprise. Je réponds à son baiser sans me faire prier, effleurant sa langue de la mienne, glissant mes bras sur sa taille pour l’enlacer et la rapprocher de moi, contre mon torse encore recouvert de chocolat mouillé. Je profite de l’instant parce que je crains qu’il soit trop bref, caressant sa lèvre avec ma langue avant de m’en emparer de nouveau, remontant mes doigts jusqu’à son cou, et l’épaule que j’ai dénudée. Et bizarrement, c’est beaucoup plus agréable que la première fois. Sans doute parce qu’elle est consentante, comme quoi ça valait le coup de retenter l'expérience … Puis finalement, des lèvres de ventouse peuvent dissimuler des talents insoupçonnés. Je suis sur le point de crier victoire, me traitant d’idiot d’avoir douté de mon charme irrésistible, lorsqu’elle s’écarte aussi rapidement qu’elle est venue se coller à moi. Qu’est-ce que j’ai fait ? Pas une baffe s’il te plaît, pas une baffe. Ah putain, je le savais. Je me suis fait avoir comme un couillon, parce que la ventouse me cloue le bec à l’aide d’un doigt avant de se reculer. Et voilà, j’vous l’avais pas dit, qu’elle aillait me retirer la gamelle ? Genre elle a besoin d’être convaincue, comme si ce qu’elle avait devant elle ne lui suffisait pas. Quoi, elle attends que je baisse mon caleçon peut-être ? Non, probablement pas. Du coup je ne sais pas vraiment si ce n’est qu’une petite garce qui aime jouer et se faire chasser pour le plaisir de mieux jeter –et donc sans intention d’écarter les jambes-, ou si elle me provoque pour éviter de passer pour une fille facile alors qu’elle en crève d’envie. « C’est pas toi qui me traitais de narcissique l’autre fois ? » Si si, c’est bien ce qu’elle a dit quand j’ai suggéré qu’elle voulait me sauter dessus. Et figurez-vous qu’elle ne vaut pas beaucoup mieux, même s’il est vrai l’envie de l’allonger sur la table est légèrement plus évidente chez moi. « Qu’est-ce qui te dit que je veux obtenir quelque chose de toi ? » A part mon regard trop curieux, mes mains baladeuses, mes canines qui mordillent nerveusement ma lèvres. Mais je veux la faire douter, parce qu’elle est bien trop sûre d’elle. Je quitte ses yeux pour poser mon menton sur son épaule, genre laisse moi réfléchir à la proposition. Certes, ça ne me déplairait pas d’en découvrir un peu plus, mais je n’ai pas l’intention de ramer. Ramer pour une meuf, c’est pas mon genre. Rarement, en tout cas. Si elle me tombe dans les bras tant mieux, sinon tant pis. Pour elle, tant pis pour elle. D'un autre côté, je ne peux pas dire que je suis du genre à cracher sur un bon défi, alors me voilà tiraillé entre la volonté de lui prouver que je suis capable d'abattre ses réticences, et celle de laisser à un autre le plaisir de lui courir après. D'autant plus qu'au final, je pourrais bien me faire doucher comme un con. Ce serait assez motivant finalement, qu'elle n'ai aucune intention de poursuivre plus loin notre échange, ce serait comme essayer de corrompre une nonne, retourner son petit jeu contre elle. Mais y'a un truc qui casse le fil de ma réflexion. Parce qu'en observant ma main droite par dessus son dos, je me rends compte qu'elle a de nouveau gonflée pendant la nuit au niveau du pouce. Je me demande pourquoi je ne m'en suis pas rendu compte plus tôt, sans doute trop occupé à attirer la ventouse dans mes filets. MERDE. Elle a été sérieusement endommagée pendant le duel, et cette sale mémé sadique n'a fait que la remettre à moitié d'aplomb. Je crois bien que la salope m'a laissé un os fêlé juste pour me faire chier. Ma joue frôlant toujours celle d'Eukleia, je soupire. « Je suis pas certain de pouvoir faire ça avec une main en moins ... » Ouais, une bonne partie de ce que j'avais en tête implique son utilisation, vous voyez. Je m'écarte de la candidate, fixant mon membre blessé. « Une sorcière, c'est un peu comme une fée en mieux, non ? Genre, tu peux guérir des trucs ? » Et je grimace en appuyant sur la partie gonflée, sifflant entre mes dents. Mine de rien, ça fait mal. Ah ouais merci, c'était le moment idéal pour te manifester ...

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Il allait craquer. C’était certain. Il fallait voir comment il la dévorait des yeux, la chose était flagrante. Elle se souvenait de ses mains le long de son cou quand elle lui avait offert ce baiser qu’il avait, à en juger, bien apprécié. Pourtant, Eukleia avait voulu jouer son enfant gâtée, comme toujours. Et elle pâtissait elle-même de ce choix de le voir trimer. Certes, elle avait toujours aimé voir quelqu’un se démener pour arriver à l’avoir, cependant généralement cela n’arrivait jamais vraiment après un tel baiser. Eukleia avait envie de recommencer là où ils en étaient, malgré le fait qu’il venait de la traiter de narcissique – ce qui n’était peut-être pas totalement faux, elle-même se l’avouait. Elle se rapprocha un peu plus de son torse tandis qu’il demande : « Qu’est-ce qui te dit que je veux obtenir quelque chose de toi ? » Elle lui sourit. C’était une chose on ne peut plus évidente. Il la dévorait des yeux depuis qu’il l’avait étreinte pour l’enduire de chocolat à son tour, elle avait senti son cœur battre à tout rompre et son souffle s’accélérer quand elle avait approché ses lèvres des siennes et elle avait senti une certaine frustration dans son regard quand elle s’était éloignée à nouveau de lui après le baiser. Elle déposa à nouveau ses lèvres contre les siennes, elle sentait bien qu’il ne voulait pas rompre cette étreinte et lui-même devait s’en rendre compte : il avait envie d’elle. Elle avait envie de lui. Eukleia arrêta le baiser brutalement le laissant dans un sentiment de frustration et lui sourit à nouveau. « Je crois que je n’ai même pas besoin de t’expliquer. » Il ne pourrait pas lui faire croire qu’il se fichait de vivre une aventure avec elle. Si cela avait été le cas, il serait déjà parti se coucher quand elle lui avait demandé de la convaincre un peu plus. En bel enfant gaté qu’il était lui aussi, il n’aurait pas couru comme cela après une fille si elle ne l’avait pas réellement intéressé. « Et puis n’était-ce pas toi qui semblait croire que nous étions fait l’un pour l’autre ? » Elle lui offrit un clin d’œil avant qu’il ne pose son menton sur son épaule. Elle sentait sa respiration dans son cou et ferma les yeux quelques secondes pour apprécier cet instant. Eukleia n’était pas sentimentale mais s’il y avait bien une chose à laquelle elle ne pouvait résister c’était à une telle proximité avec une personne du sexe masculin (tant que ce n’était pas un vampire – quoique c’était déjà arrivé), un défiguré, ou une personne apparentée à la famille des mollusques). Cela faisait partie de ses péchés mignons et elle avait du mal à s’en passer. Elle aimait se sentir désirée et désirer en retour. Elle aimait la sensation du souffle chaud de ses conquêtes venant caresser sa peau. Elle aimait ces instants d’intimité, ces moments privilégiés. Si on la considérait souvent comme une croqueuse d’hommes au tableau de chasse bien rempli, il y avait pourtant une chose qui primait toujours pour elle : la beauté de l’instant. C’était cela qu’elle recherchait dans cette multiplication d’aventures. Pendant un instant, elle pouvait s’abandonner et oublier. Oublier quoi donc ? Qui elle était peut-être ? Elle ne savait pas. Ce dont elle est sûre pourtant c’était le fait qu’elle baisait comme pour se donner du répit. Pour s’offrir cet oubli et la magie d’un instant qu’il soit brutal ou doux, que ce soit une aventure sans sentiment ou bien plus, qu’il s’agisse d’une personne qu’elle estimait ou qu’elle dénigrerait plus tard. Pour donner un peu de repos à son esprit qui pourrait alors s’abandonner dans les bras d’un homme.
Elle ouvrit les yeux alors qu’il enlevait son menton de son épaule. Le visage de la sorcière était plus détendu tandis que celui de Sullivan affichait une inquiétude, à moins qu’il ne s’agisse d’une quelconque gêne. Il lui mettait sous le nez un pouce enflé et rouge. Elle grimaça. « Où tu t’es fait ça ? » ce n’était pas très beau à voir et il était certain qu’elle non plus ne pourrait rien faire avec quelqu’un qui avait comme un furoncle à la place du pouce. Elle sortit de l’étreinte des cuisses de Sullivan et se pencha vers l’armoire à nourriture. Elle poussa les objets, les boites de céréales et les paquets de pâtes pour enfin attraper dans sa main un petit sac de tissu violet. Elle tira les lacets dudit sac duquel elle sortit une petite fiole qui contenait un liquide rosâtre. Elle sourit à Sullivan. « En bonne prévoyante que je suis, j’ai pensé à déposer ces petites fioles un peu partout dans le château… j’ai appris avec le temps qu’on pouvait se blesser n’importe où et qu’une potion à portée de main était toujours sympathique à trouver. » Elle déboucha la fiole. Une odeur sucrée et d’herbe coupée s’échappa du récipient de verre. Elle se pencha sur le pouce à Sullivan et versa trois gouttes du liquide rose. Elle attendit trois secondes et constata que la potion avait marché. « Je n’ai pas perdu la main, on dirait. Et je t’ai redonné la tienne ! » lança-t-elle.

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J’ignore pourquoi, mais sa question me surprend. Genre, ça l’intéresse de savoir comment je me suis blessé. C’est une preuve d’avancée ça, non ? « J’ai essayé de peloter la mauvaise personne. » J’esquisse un sourire taquin, et je parie que ça ne l’étonne même pas, comme réponse. « On va dire que j’ai concédé quelques points pendant le duel, par pure bonté d’âme. » Evidemment. J’avais réussi quelques jolis coups moi aussi, mais celui-là avait été particulièrement vicieux. Se faire broyer la main par une mâchoire de loup n’est jamais très plaisant, surtout quand ça continue de faire souffrir après plusieurs jours. Je me demande pourquoi je n’ai pas appelé les autres candidats à l’aide avant cette nuit, peut-être par fierté, convaincu que je pouvais encaisser la douleur en serrant les dents jusqu’à ce que ça disparaisse. La ventouse me délaisse, et je ne comprends pas la raison pour laquelle elle va fouiller dans l’armoire, lorgnant en direction de ses fesses pendant qu’elle a le dos tourné. Je prends évidemment soin de relever les yeux lorsqu’elle revient en brandissant triomphalement une petite fiole à la couleur suspecte. Alors je hausse un sourcil en esquissant un léger mouvement de recul, plissant les paupières. « C’est ça ouais, j’suis sûr que ce truc est un philtre d’amour pour que je tombe raide dingue à tes pieds. » Et franchement, vu la couleur et l’odeur qui me fait froncer le nez, on pourrait s’y tromper. Mais je me laisse quand même faire, parce que je ne suis pas en position de me méfier trop longtemps, observant le liquide agir avec une certaine fascination. Elle affiche un air satisfait, et moi je tends ma main dans les airs pour vérifier qu’il n’y a pas d’embrouilles. « Tu peux pas aussi en mettre sur le cœur fragile que tu viens de déchiqueter ? » Je lui demande en tapotant mon torse de deux doigts, du côté droit, lui servant un regard faussement triste. Ouais je sais, je me la joue ‘lover périmé’, et en fait il ne s’écoule pas plus de trois secondes avant je ça me fasse rire. C’était même pas crédible. Et puis je saute de la table sur laquelle je suis perché en profitant de l’espace qu’elle me laisse, attrapant ses mains que je plaque contre son buste en me plaçant derrière elle, collé contre son dos. J’emprisonne ainsi ses bras entre les miens, mon visage à nouveau tout près du sien. « Et si je fais ça, tu ne peux plus claquer des doigts, je m’trompe ? » Je l’oblige à avancer pour coincer son corps entre le mien et la table, histoire d’éviter une figure de ninja quelconque. Sait-on jamais, peut-être qu’elle maîtrise les arts martiaux. Et par la même occasion je la réchauffe, si ce n'est pas formidable ça. « Ce qui veut dire plus d’avantage magique. » Je souffle à son oreille, l’effleurant de mon nez. « Ce qui veut aussi dire que je peux bien faire ce que je veux de toi sans risquer de me prendre une gifle invisible. » Ouais parce que vous voyez, j'ignore totalement que les sortilèges informulés existent moi, je n'suis pas un expert en sorcellerie. Et comme pour concrétiser ma petite théorie, je lèche la joue sur laquelle mes traces de pâte à tartiner demeurent intactes. Hm, je crois que le chocolat n’a jamais été aussi bon.
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Alors comme ça le loup avait fini par être lui-même mordu ? Cocasse, vous ne trouvez pas ? Eukleia sourit. Elle s’attendait à moins glorieux – après tout, il aurait pu se coincer le pouce dans une porte. Elle remarqua la petite grimace de Sullivan quand elle apporta la fiole devant lui. Comment pouvait-il croire que c’était un quelconque philtre d’amour ? « J’ai une tête à utiliser des philtres d’amour ? Et ose donc me dire que j’en aurais besoin te concernant… » Lança-t-elle avec un petit sourire taquin. En attendant, elle était assez fière d’elle : la potion avait marché à merveille. Elle en oubliait presque ce qu’ils venaient de se passer quelques temps plus tôt – les baisers et tout le baratin. Elle eut tôt fait de s’en souvenir quand elle l’entendit prononcer tout haut une de ces phrases de loveur qu’elle détestait par-dessus tout. Panser son petit cœur brisé, et plus quoi encore ? Elle se demandait où il avait été pêché cette phrase si ridicule mais plus encore, elle se demandait comment il avait pu penser qu’il lui plairait de l’entendre le prononcer. Elle voulut lui répondre mais elle n’en eut pas le temps, déjà, il lui attrapait les mains et la bloquait contre la table. Oh merde, mais qu’est-ce qu’il était en train de faire ? Elle sentit son souffle chaud le long de son cou. Il ne semblait pas vouloir lâcher ses mains et les laissaient serrées dans les siennes tout contre ses seins – elle ne soupçonnait même de ne pas avoir choisi ses endroits pour poser ses doigts par hasard. Ses lèvres murmurèrent à côté des joues d’Eukleia : « Et si je fais ça, tu ne peux plus claquer des doigts, je m’trompe ? » La sorcière laissa échapper un petit rire. Elle le laissa continuer dans sa lancée, même si elle savait très bien qu’un sorcier n’avait pas besoin de claquement de doigts pour lancer un sort. Si elle le voulait, le pauvre Sullivan pourrait être propulsé au milieu des paquets de pâtes. Mais, à vrai dire, elle appréciait particulièrement la chaleur du corps du loup-garou tout contre le sien. Elle entrelaça ses doigts autour des siens tandis qu’elle sentait sa langue entrer en contact avec sa joue. Il semblait se croire tout puissant en cet instant-ci et elle voulait bien le laisser un petit instant dans cette croyance qui devait flatter son ego de vantard. Elle colla sa joue contre la sienne puis dit : « Sullivan, je ne suis pas très adepte des positions par derrière, tu sais. » Il sembla comprendre le message et desserra un peu son étreinte ce qui permit à Eukleia de se retourner. Ils se trouvaient désormais ventre contre ventre et les pupilles de la sorcière se perdaient dans celles du loup-garou. Ses doigts vinrent se balader sur le torse de Sullivan. « Qu’entendais-tu par faire tout ce que tu veux ? » demanda-t-elle d’une voix mi-taquine, mi-enjôleuse. « Cela a le don de m'intriguer... » Etait-ce réellement le moment de passer aux choses sérieuses ?
Elle n’avait désormais plus froid du tout.
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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyVen 10 Mai - 3:00

La ventouse parle carrément de position, aussi je me dis qu’on s’est engagé sur la bonne voie. Avec un peu de persévérance, on vient à bout de n’importe quelle bataille, et c’est ce que me disent ses doigts mêlés aux miens. Je ferme les yeux un bref instant, juste pour profiter de son corps chaud contre le mien, mais elle se retourne et je replace délicatement une mèche de cheveux derrière son oreille en délaissant ses mains. Cette fois il n’y a plus de doute, elle m’allume carrément. Elle me provoque en baladant ses doigts sur mon torse et je sens un frisson me parcourir le dos. Elle me provoque d’un simple regard à travers lequel il n’est pas permis de se tromper. Elle me provoque de quelques mots aguicheurs qui résonnent comme une douce mélodie à mon oreille. Vraiment ? J’ignore si elle sait à quoi elle s’expose. Si elle l’attend, si elle l’espère, et surtout dans quel but. Encore une fois, l’incertitude plane au-dessus de ses gestes, de sa volonté véritable, et j’ai comme l’impression que je ne pourrais pas gagner cette partie infernale. Mais si je n’essaie pas, je ne pourrais pas savoir. Alors je pose ma main gauche sur sa cuisse, remontant lentement sous le tissu pour soulever sa nuisette avant de les laisser se perdre sur la courbe de ses reins. Puis plus bas, trop bas sans doute, regrettant la nouvelle barrière de vêtement qui m’empêche de sentir sa peau nue sous mes doigts. Je ne quitte pas son visage de mes yeux bleus pour guetter sa réaction, mon autre main occupée à s'accrocher à ses cheveux. « Je pensais à ça. » Je murmure près de son oreille derrière laquelle je dépose mes lèvres, les faisant glisser le long de son cou, de son épaule, de la naissance de sa poitrine, couvrant sa peau de baisers qui l’effleurent à peine, simplement pour la faire frissonner. Je prends mon temps, mes doigts s'aventurant dans son dos avant de quitter sa peau. « A ça aussi. » Je relève mes yeux vers elle avant de hausser les épaules en m’écartant, rompant tout contact. « Mais bon, tu as récupéré tes mains maintenant, alors je ne m’y risquerai pas. » Moi aussi, je connais les règles de ce jeu. « Pas d'chance. » C'est aussi un moyen de comprendre ce qu'elle a derrière la tête, parce que ses prochains mouvements m'éclaireront probablement davantage sur ses intentions.

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Eukleia

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MessageSujet: Re: lorsqu'elle griffait, mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE.    lorsqu'elle griffait,  mon dos, ma peau se transformaient en pyrogravure ~ sullivan. (12/05, 3h13) - TERMINE. EmptyVen 10 Mai - 3:18

Les doigts de Sullivan se perdaient sous sa nuisette. Elle frissonnait tandis que sa main remontait le long de sa cuisse jusqu’à attendre le creux de ses reins. Elle le regarda fixement tout en lui demandant ce qu’il comptait faire clairement puis elle perdit son regard alors qu’il descendait le long de son cou. Le contact de ses lèvres sur sa peau créait chez elle une envie incommensurable et Sullivan attisait le brasier en descendant plus bas encore sur son corps. Elle se mordillait la lèvre, en prenant garde à ce qu’il ne la voit pas – même si cela n’était pas forcément utile étant donné qu’il semblait complétement absorbé dans la tâche d’embrasser tout son corps. Soudain, la frustration éclatait dans l’esprit d’Eukleia. Sullivan semblait vouloir jouer et il avait arrêté de poser ses lèvres sur sa peau, mais maintenant il était bien trop bas. Et la sorcière était… bien trop haut. Elle n’avait plus envie de jouer. Elle n’avait plus envie que cette partie infernale continue plus longtemps. L’humour dont voulait faire preuve Sullivan l’agaçait presque. Et elle savait qu’il était de lui montrer qu’elle avait envie de lui. D’un geste déterminé, elle releva le corps du loup-garou. Tandis qu’elle s’asseyait à demi sur la table toujours derrière elle, elle enroula sa jambe autour du bassin de Sullivan et déposa ses lèvres sur les siennes de manière plus violente que les deux premiers baisers. Ses baisers descendirent dans son cou, zone érogène, et sa main tomba le long de son torse humide. Elle sentait le souffle de Sullivan ainsi que son rythme cardiaque s’accélérer. Cet instant était le leur. Il n’y avait pas de gagnant. Il n’y aurait pas de perdant. Seulement leurs corps qui s’enlaçaient. Ils étaient chacun tombé dans les bras de l’autre, pour une nuit, pour quelques heures, et il était désormais temps d’arrêter de compter les points. Eukleia glissa ses doigts le long du sous-vêtement de Sullivan, s’autorisant à toucher son sexe à travers le caleçon avant de faire tomber ce dernier au sol. « Terminons maintenant la partie. En cessant de compter les points. » lui murmura-t-elle. Leurs lèvres se rencontrèrent encore une fois.

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De ce que j’observe dans ses gestes et ses expressions, la candidate s’est laissée piéger par son propre jeu. Manipulée par son désir, avide de plus et frustrée de ne pas l’obtenir. Parce que je sens qu’à chaque fois que je m’éloigne, elle s’agace. Pour preuve, elle revient à la charge d’un baiser plus brutal que les précédents en emprisonnant mon bassin de ses jambes pour m’empêcher de lui échapper. Et alors que c’était à moi de la convaincre, c’est elle qui m’arrache ce rôle pour me faire comprendre quel chemin elle souhaite emprunter. Celui de l'abandon, du ressenti, de mon corps contre le sien. J’en éprouve une certaine satisfaction, parce que ça contredit tout ce qu’elle a bien pu me faire croire jusqu’à maintenant. Elle troque mes lèvres contre mon cou, et je soupire sous les assauts de ses baisers, mes doigts toujours glissés dans ses cheveux. Je veux qu'elle continue, ne faire plus qu'un avec elle pour le reste de la nuit, profiter de ces quelques heures volées. Mais finalement, elle rend les armes par quelques mots qu’elle glisse à mon oreille, sacrifiant le compte de nos points. Alors un sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je mets fin au nouveau baiser qu'elle me concède, rattrapant mon sous-vêtement avant qu’il ne touche le sol pour le remettre à sa place. « La partie est déjà terminée. Et je viens de gagner. » Je lâche, avec l'air fier du connard absolu que je sais si bien afficher en écartant ses jambes de mes mains pour me libérer d’elle. Parce qu’elle a beau dire ce qu’elle veut, son désir –par-delà les considérations personnelles- témoigne de ma victoire. Puisque tout cela n’est rien qu’un jeu, reste à déterminer si elle est mauvaise perdante ou bonne joueuse. C’est elle qui l’a dit, non ? Terminer la partie, ça veut bien dire ce que ça veut dire. Ça me prouve qu’elle a placé un plateau entre nous et qu’elle bouge ses pions, et quand on m'a mis cette idée en tête on ne peut pas espérer me voir me livrer aux sensations en l'oubliant simplement. Je me moque qu'elle ait voulu y mettre un terme, elle l'a instigué et c'est suffisant pour justifier ce dénouement. Sans compter que ça m’amuse de la pousser à bout et de lui montrer qu’elle ne maîtrise rien. Je ne peux pas m’empêcher de faire ce genre de trucs, c'était trop tentant pour laisser filer l’occasion, un moyen de reprendre le dessus sur elle. Quand je joue, c'est pour gagner. Mais il n’y a pas que ça qui me fait reculer jusqu'à la porte de la cuisine en délaissant un promesse de plaisir. Il y a un tas de pensées qui occupent mon cerveau cette semaine et qui m’empêche de profiter de ce qu’elle m’offre, quand bien même je serais prêt à concéder une victoire partagée. Alors je me contente de l'abandonner sur la table, un sourire accroché aux lèvres. « Fais de beaux rêves. » Je m'arrête à ça avant de disparaître, parce que j'estime que l'enfoncer davantage serait parfaitement inutile.

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Eukleia

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Papillon dans le ventre et étoiles contre ses émotions, elle sentait son corps s’enflammer sous les mains hasardeuses de Sullivan. Leurs lèvres se touchaient, elles se brûlaient et ils brûlaient ensemble. Puis soudain, la tension retomba. Elle sentit ses hanches se détendre tout autant que le bas de son ventre. Et son visage se tendre, tout au contraire. Il prononça ces mots-là qui lui fit froncer les sourcils. Gagner ? Il en était encore à là. Elle n’avait rien à lui dire, elle le voyait partir, comme fier de son action, comme heureux de cette pseudo-victoire. Elle resta assise un instant tout en regardant cet enfant en mal de reconnaissance s’éloigner et quitter la pièce. Il pensait avoir gagné ? Il venait de perdre une nuit de folie pour des enfantillages. Pour un orgueil démesuré. Le sien, elle avait su le mettre de côté pour ne penser qu’à l’instant. Pour ne penser qu’au moment présent. A son corps contre celui d’un homme. A l’oubli. Au répit. Sans ne penser que c’était Sullivan qui était sous ses doigts. Sans penser que c’était contre ce corps là qu’elle s’était énervée un jour. Il avait voulu mettre fin à leur étreinte. Il avait peut-être voulu recréer entre eux cette animosité qui les avait animé au début de leur relation. Etait-ce par simple peur ? Par narcissisme ? Pour ne pas sembler perdre ? Il pensait avoir gagné… il ne gagnait qu’une ennemie. Une ennemie parmi tant d’autre. Elle espérait qu’il avait profité de ses mains contre son corps. Car cela n’arriverait plus. Elle ne se sentait pas en colère de se retrouver seule, dans cette cuisine, sa nuisette trempée au sol. Elle sentait juste un sentiment de détermination l’envahir peu à peu. Ce n’était pas de la haine, ni de l’envie de vengeance, c’était bien au-dessus de ça. Elle voulait simplement lui montrer, et là l’orgueil était écarté, qu’il n’avait pas gagné. Parce que tout simplement, on ne gagnait pas seul à ce jeu-là. On ne gagnait qu’à deux. Mais l’enfant qui sommeillait en ce Sullivan frémissant qu’elle venait de connaître n’avait toujours pas compris cette dernière règle du jeu. Peut-être un jour le comprendrait-il. Elle déposa ses pieds sur le sol froid et attrapa du bout des doigts sa nuisette, avant de s’engager dans le couloir. Pour se glisser dans des draps chauds.

TERMINE.
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