déshabillez-moi et plus si affinités: binôme: MONCUL. bourse: 20
Sujet: Re: I gonna kill you. Or maybe... Not. ► (05/06 - 12h10) ◄ FAUVE. Dim 2 Juin - 12:10
Envie pressante, pressante, genre, hyper pressante, et pour une fois, je ne parle pas de sexe, je vous jure. Je grimpe les escaliers, style, tornade humaine, parce que, bordel de merde, je vais exploser si je pisse pas bientôt, honnêtement. Je bouscule une meuf dans les escaliers, j’allais continuer mon chemin, je me retrouve coupée dans mon élan lorsqu’elle m’agrippe bras. Et je manque de péter la gueule, mais je me rattrape en maintenant son bras, à elle aussi, et la rambarde aussi. Elle se rend pas compte qu’elle a failli commettre un meurtre la meuf là, en m’arrêtant dans mon élan comme ça ? Elle ouvre la bouche, style, hyper agressive. M’excuser de quoi ? Ouais, non, cherchez pas, j’ai plus de neurones quand j’ai envie de pisser, je crois, parce que je capte pas. Et là, elle me sort que je suis mieux que tout le monde. Je lève les yeux au ciel. « c’est possible d’oublier ça ? oh, je te pardonne, tu sais ! » bah ouais, bien sûr que je suis mieux que tout le monde. Plus bonne. Meilleure au lit. Plus bonne. Plus souple. Plus bo… ouais bon. Je déconne hein. Et là, elle lâche toujours pas mon bras, la meuf, et limite si elle ne commence pas à me faire mal, voyez. Respect pour le self contrôle en tout cas, mise à part les mots, elle a l’air hyper calme, la meuf. Ouais, bon. Est-ce que j’ai envie de me prendre la tête avec elle ? Non. J’sais même pas son nom. Enfin si, Atropos. Mais je lui ai jamais parlé quoi. « bah, en fait, normalement, je suis vraiment qu’une salope, tu vois. » autant répondre sur son ton, voyez. « mais ici, pas tellement, t’imagines, j’ai à peine baisé ! » je lève les yeux au ciel, style, ô malheur. « bon, par contre, là, je kifferai que tu me lâches le bras. » je lance, un peu plus froidement. Bah ouais, elle se prend pour qui la meuf, je veux bien déconner cinq minutes, mais si elle se calme pas, voyez, ça va pas être beau hein. Je la connais même pas moi, va falloir qu’elle se calme ailleurs hein. « tu sais, si t’es frustrée parce que t’as toujours pas baisé, faut pas t’en prendre à moi hein, j’y suis pour rien. » bah ouais, merde, on a déjà assez de la vieille truie qui rejette sa frustration sexuelle sur nos, pauvres candidats, alors si en plus, Atropos s’y met, voyez.
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Sujet: Re: I gonna kill you. Or maybe... Not. ► (05/06 - 12h10) ◄ FAUVE. Lun 3 Juin - 11:25
Oh putain, oh putain, oh putain. Je sais pas trop pourquoi, mais je commence à me dire que j’aurais dû passer autre part pour aller pisser. Bon, le côté, « je tente d’avoir un peu d’humour même si tu me fais légèrement chier » marche pas trop avec elle, je crois. Elle a pas l’air d’avoir compris que je déconnais un peu, en fait. Voir pas du tout. Peut-être qu’elle est pas très intelligente. Style, Absinthe. Je sais pas trop. Je suis pathétique donc, hm. Je me contente de sourire, voyez, style, je m’énerve pas tout va bien. Et là, elle me pousse. Sauf que comme je m’attendais pas à ça, et comme je manque UN PEU d’équilibre parfois, je manque encore une fois de m’étaler, mais je me rattrape bien vite. J’arrive plus à sourire, même en me forçant. Je ris, un peu nerveusement. « c’est que t’es maladroite hein ! » ouais, ouais, style, elle a pas VOULU me pousser pour que je m’éclate le crâne en bas des marches. Elle a pas l’air d’accord sur le fait que j’ai à peine baisé. Pourtant c’est vrai merde, je baise à peine depuis que je suis ici, si encore j’arrivais à baiser disons, une fois tous les jours, voyez, je me plaindrais pas trop, même si c’est nul, de baiser seulement une fois par jour, mais bon, là, c’est que dalle, hm. Je commence à me tortiller un peu, parce que, j’ai quand même envie de pisser, bordel, si elle veut s’en prendre à moi, sérieux, elle pourrait avoir la décence d’attendre hein. « bah écoute, je suis flattée, vraiment. » bah ouais, elle veut pas lâcher mon bras, style, fan hystérique qu’en revient pas de me toucher. Non ? Ah, merde. « mais bon, je suis pas lesbienne moi, donc bon, je peux comprendre que l’envie de me tripoter soit forte, tu vois, mais ça va devenir gênant là ! » en plus, j’suis sûre que Vixy serait vénère si sa pote se jetait sur moi pour baiser. Bon, en fait, c’est vrai qu’elle a pas franchement l’air de vouloir baiser non plus, Atropos. Plutôt de me démolir. Et elle ne me lâche toujours pas. Je sens mon poing qui se resserre un peu, voyez, mais je respire, style, tout va bien. Je ne vais pas frapper une fille bordel. J’en ai même pas envie, pas une fille, quoi. Et elle continue, style, je baise autant parce que je ne m’aime pas. Et puis, elle garde bien son emprise sur mon bras, la salope. Et ça commence à me gonfler sérieux, genre, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça, hein ? J’ai juste tenté d’aller aux toilettes, sérieux, c’est abusé. Je prends une grande respiration, style, je vais pas m’énerver, tout va bien, et je me rapproche un peu d’elle (mais pas trop, faudrait pas qu’elle prenne ça pour une invitation à baiser) « T’as pas baisé. Et un plaisir solitaire, ça compte pas, donc, t’as pas baisé. Je sais pas si tu m’en veux pour quelque chose, ou si t’as tes règles, hein, mais arrête, ok ? » ouais, je me la joue meuf un peu gentille. Mais sérieux, j’ai pas envie de me prendre la tête avec une fille quoi, ça craint. Sauf que ça marche pas. « c’est quoi ton problème. » je demande, ton sec, ça m’amuse pas franchement, là.
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Sujet: Re: I gonna kill you. Or maybe... Not. ► (05/06 - 12h10) ◄ FAUVE. Jeu 6 Juin - 6:59
Hahaha, en fait, je commence à la trouver flippante. Genre, ça m’étonnerait qu’à moitié qu’elle me tire dans un placard et qu’elle sorte une hache pour me découper en morceaux, et après, elle va éparpiller mon corps un peu partout, style, dans les murs. Ou alors, elle va me donner à manger aux loups du jeu pour se débarrasser bien de mon corps, et style, elle va dire que j’ai abandonné le jeu, genre, j’ai voulu me confier qu’à elle, et vu que la vieille mémé, elle me kiffe pas, elle laissera passer, et tous les candidats penseront que j’ai abandonné alors que je serais carrément morte quoi. Oh putain, imagine que Maia me bouffe sans capter. Je ne sais pas. Ce serait dégueulasse. Bref. En tout cas, elle parle de maladresses contrôlées, et je souris, style, t’es drôle meuf, alors que je commence à me dire qu’elle est tarée, vraiment tarée. Et elle me parle de mon corps en bas des marches, et je m’imagine le crâne écrasé là, avec du sang partout. Je suis vraiment trop bonne pour mourir sérieux. Elle éclate de rire quand je lui parle de son homosexualité. Et apparemment, elle est pas lesbienne. Faudrait savoir hein, sauf si Vixy cache un pénis quelque part, mais sinon, j’crois qu’elle se goure un peu là. Et après s’être attaquée à mes façons de faire avec les hommes, elle s’attaque à mon physique. Je suis calme. Juré. J’essaye. Le même sourire à la con, et je l’ouvre encore : « c’est à cause de mon manque de seins ? je sais que j’ai pas grand-chose ! Mais c’est à cause de mon chemisier, ça, je te jure, en fait, sous les vêtements, ils ne sont pas aussi minuscules que ça » allez, je me la joue Absinthe, en faisant la conne qui capte pas le message et qui prend bien. C’est que j’ai pas envie de péter les plombs pour cette meuf. Alors je préfère jouer l’abrutie la plus totale, voyez ? Mais pas longtemps, parce que, ça va bien, mais j’ai toujours envie de pisser, et elle me fait un peu chier quand même, là. Et je sens sa main qui s’écrase violemment sur ma joue, qui brûle, là, sous le coup. Mon poing est à deux doigts de choper son débardeur pour la faire passer par la rambarde –enfin, essayer, en fait, parce que je doute avoir la force pour ça voyez- mais au lieu de ça, mes ongles s’enfoncent dans ma propre chair, dans ma paume. On n’est pas en duel. Je refuse de m’en prendre physiquement à une meuf, hors duel. Même si ma joue n’est pas prête d’oublier l’impact. Elle me lâche un monologue, immense, le monologue. Tout y passe. Je ne suis qu’une pimbêche, une salope, nymphomane. Et elle ne supporte pas de me voir ou de me toucher. Et elle se met à parler de Sullivan, et, sur le moment, je ne capte pas le rapport. Je ne vois pas vraiment ce que ça peut lui faire, de qui Sullivan baise. Et je me rappelle qu’il n’a pas voulu coucher avec elle. Donc, ça doit être ça, le problème. J’imagine que c’est pas le moment pour sortir « surpriiiiiiise, on a encore couché ensemble ! » parce que là, elle me bouffe, la meuf, pour de vrai. Elle me lâche le bras, enfin. J’ai le poing toujours serré. C’est une fille. Je me répète ça. C’est pas un mec. Je frappe que les hommes. Faut pas que je m’en prenne à elle. Putain. Si elle savait le self contrôle dont je fais preuve, là, sérieux. « votre race. » je répète, froidement. Je ravale les mots qui devraient venir par la suite. Je ravale mon envie de lui dire qu’elle n’est rien d’autre qu’une putain de chienne. Qu’elle n’a rien de supérieur, un animal, c’est pas supérieur aux hommes, aux humains. C’est rien, un animal, en théorie. C’est même pas foutu de se contrôler, un animal, ça peut pas, c’est pas comme l’homme, ça sait pas faire. Au lieu de lui recracher toute mon amertume à la gueule, je me décale, sans la quitter des yeux. Je lui passe à côté, je monte les marches, je me tire. A défaut d’atterrir dans sa tête, mon poing, il se paie le mur, en haut de l’escalier. Ça fait mal, mais putain, ça fait du bien, en même temps. Et elle m’a coupé mon envie de pisser avec ça.
Spoiler:
bon c'est vraiment de la merde par contre
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