Ouais, bon, j’ai passé un début de semaine merdique, avec mes deux nuits sur cette foutue île, voyez, je me suis jamais sentie aussi seule, limite si j’allais pas sauter à l’eau pour me noyer et en finir. Mais bon, ça va, c’est passé, c’était carrément inhumain, et je commence sérieux à me demander ce qu’ils ont tous contre moi, entre la vieille mal baisée qui m’envoie dans les oubliettes et Tyger là-dedans, voyez. Bref. En parlant du type, je viens d’arriver dans la cuisine, et je tombe sur lui. Il se retourne, et j’imagine déjà son air déçu et tout de me voir, alors, je prends la parole, histoire d’éviter qu’il me balance un truc par la tronche pour se venger du prime, ou je sais pas. « je viens en paix, je te jure. » je lève les mains, style, je suis innocente. Enfin. Aussi innocente que la dernière fois où on était dans une cuisine tous les deux. C’est con, d’ailleurs, je peux même plus faire semblant, voyez. Sauf s’il croit qu’une meuf innocente comme tout peut se taper deux-trois candidats en quelques semaines. « Regarde, je suis même prête à t’offrir mon corps en guise de réconciliation. » oh, allez, pour lui montrer ma bonne foi. Comme pour allier le geste à la parole, mes doigts attrapent le bout de ma jupe pour la soulever, lentement, pour dévoiler mes jambes longues, bronzées, galbées. De quoi largement attirer son attention, et même bien plus. Mes doigts remontent un peu plus, laissant ma petite culotte bien visible. Sourire mutin sur mon visage, je lâche le tissu qui retombe le long de mes jambes pour cacher à nouveau mon corps. Oh, ça va, des tas de nanas ont couché pour sauver leur peuple, tout ça. Moi, je veux bien coucher pour sauver l’ambiance de ce château et pour éviter qu’on se mette tous sur la gueule, vous voyez. D’autant plus avec Tyger, on ne peut pas dire qu’il ne me plaise pas. « enfin, après, si tu préfères qu’on en reste à se chamailler … » je lève les yeux au ciel –au plafond- parce qu’honnêtement, je compte pas passer le reste du jeu à me prendre la tête pour des broutilles.

Dès que c'est 18h il pense qu'à ça Tyger, non pas à baiser, mais à manger. En fait c'est un peu le concours entre Vixy, Tyger et Saphyr de à qui mangera le plus on dirait. Bon ce coup-ci il fait des hamburgers tranquille dans la cuisine, alors qu'il réfléchit à mille trucs genre au sens de la vie, à sa future victoire de Golden Valor, et au fait qu'il est tellement génial. Il siflotte même, normal. Et voila que y a quelqu'un qui se pointe dans la cuisine. Il se retourne pour voir que ses Fauve. Oh il a bien fait de garder son couteau à la main. Après le coup un peu salaud qu'il lui a fait en l'envoyant sur l'îlot du lac parce qu'elle lui avait foutu son poing dans la gueule, il pense qu'elle va vouloir prendre sa revanche. C'est pourquoi sa réaction de venir faire la paix le surprend un peu. Elle va lui faire le même coup que Cordélia et Eukleia ou quoi ? Genre feinter la réconciliation pour en fait l'attirer dans un piège. “ Tu m'en veux pas pour l'île déserte ? ” Il a un peu réfléchi à ça aussi Tyger. Il se dit qu'il a peut-être un peu trop réagi dans le feu de l'action en utilisant son avantage sur elle. “ A bien y réfléchir j'aurais peut-être dû envoyer Ange, ça se fait carrément pas de me voler des niveau. ” Bon, un demi-niveau. Mais quand on veut autant gagner que Tyger, ça passe moins bien que de se faire abîmer son si beau visage. Fauve commence à lui faire des avances en gage de sa bonne foi, et Tyger se dit qu'après tout, il en attendait pas moins d'elle. Les rumeurs sont allées vite dans le chateau, alors que la dernière fois il la croyait toute jeune et innocente, qu'elle se laissait charmer et draguer par lui, alors qu'en fait c'était elle qui essayait de l'attirer dans ses filets. Voila qu'elle lui montre ses jambes bronzées et même sa culotte. “ Ca va, ça t'as bien réussi ce petit séjour, t'as bien bronzé, non ? ” Bon elle va peut-être mal prendre cette petite pique. Tyger a toujours son couteau à la main, essayant de peser le pour et le contre. D'un coté, il peu repousser ses avances et éviter le risque de se faire prendre au piège, mais s'il n,'y a pas de piège il évite une chance de réconciliation. De l'autre coté, il prend son pied mais prend un risque ou au contraire tout ira bien entre eux après ça. Puis merde il regarde cette petite culotte et il se dit que y a pas de mal à se faire du bien. Il pose son couteau sur le plan de travail, et commence à se rapprocher de Fauve. “ Raconte-moi au moins comment c'était ces nuits, toute seule, au milieu d'un lac infesté de requins... La prochaine fois, on aura qu'à y aller tous les deux. ”

Je me dis que j’aurais peut-être dû attendre avant de venir voir Tyger, vous comprenez, parce qu’il a l’air bien accroché à son couteau le gars. Limite, je commence à me demander si la vieille truie le laisserait me tuer. Quoi qu’il n’y arriverait pas, je cours vite. Le temps de m’enfermer dans les toilettes, hm, je serais sauvée quoi. Il me reparle de l’île déserte. Je me mordille la lèvre. Je lui voulais, quand j’y étais, ouais, c’est sûr (et pas seulement pour le manque de baise hein) mais bon, c’est passé quoi. Et je crois qu’il flippe que je vienne réclamer vengeance. Style, c’est mon genre. Ça va, si je me venge, il va faire pareil, et on n’en aura jamais terminé. Autant baiser, moi je dis, c’est plus simple, plus clair, plus agréable. « si je t’en voulais, je ne serais probablement pas là, tu sais. » ouais, je perdrais sans doute pas mon temps avec lui, comprenez, quand j’en veux à quelqu’un, j’ai franchement du mal à faire semblant du contraire, comme Cordelia, là. Enfin, bref. J’hoche la tête quand il parle d’Ange. D’autant plus que ce type ( ou cette nana quoi, à voir) est invisible comme pas possible, ce n’est pas non plus comme s’il aurait manqué à quelqu’un, comprenez, alors que moi, je suis sûre que tous les candidats ont pleuré toutes les larmes de leur corps sans moi. Ouais bon, peut-être pas non plus, mais voilà quoi. Soit. Il garde son couteau dans la main. J’me demande ce qu’il attend pour le lâcher quoi. Ça lui donne quand même un côté détraqué là, enfin bon. Bronzer. Ah, ouais, j’ai bronzé, limite, je devrais le remercier pour ça aussi ? Hm. Finalement, il le pose, ce foutu couteau, ce qui est quand même bien mieux. Il s’approche. Moi aussi, du coup, hein. Je pose mes mains autour de sa nuque, lentement. « C’était… long et dur. » Les mots sont choisis innocemment. Enfin, presque. Je m’avance un peu plus, pour coller mon corps à lui, et approcher mes lèvres vers les siennes, sans le quitter des yeux. « on est d’accord pour faire la paix ? » je souffle, doucement, alors que mes mains caressent un peu sa nuque. Parce que, ouais, je suis sincère, là-dedans, et c’est pas un coup tordu comme Cordelia peut les faire.

C'est fou quand même cette capacité que Fauve à d'oublier de lui en vouloir. Quelqu'un de normal, enfin quelqu'un comme lui aurait cherché par tous les moyens de se venger, mais elle que dalle. Enfin peut-être que c'est sa façon de se venger, en l'ajoutant à son tableau de chasse. Il a peut-être bien fait de l'envoyer sur cette ile déserte finalement, si elle le remercie en lui offrant une partie de jambes en l'air. D'accord il la croit. Finalement, elle a l'air assez simple comme meuf, genre à pas trop se prendre la tête et à penser juste à l'essentiel pour elle. L'essentiel pour elle ça semble être le cul, mais bon, chacun sa passion après tout. Ils sont tout prêts maintenant, et Fauve en profite pour lui faire des grosses allusions, en même temps qu'elle commence à poser ses mains sur son corps. Elle sait ce qu'elle veut. “ Je suis sûr que je pourrais rendre tout ça beaucoup plus agréable. La nuit, sur le sable... ça doit être fantastique. ” Tiens d'un coup ils e dit qu'ils seraient ieux sur l'île, là maintenant, si ils se décident à le faire vraiment. Parce que ouais, Tyger il existe encore un peu. Il aime pas s'y mettre tout de suite sans réfléchir, il aime jouer un peu avec la nourriture, tâter la marchandise, être sûr qu'elle en vaut la peine. mais quand même, sur le principe, ça lui dit bien. Il s'approche de son oreille pour y murmurer : “ Je suis d'accord pour faire la paix, et plein d'autres choses. ” Il s'éloigne de son oreille avec un immense sourire. Il approche ses lèvres des siennes mais ne les embrasse pas, préférant s'éloigner au dernier moment. “ Tu as bien fait attention, tu es sûre que tu ne t'es pas faite mordre par des requins ou des moustiques ? Je sais pas, je préfère vérifier. ” Tâter la marchandise ouais. Il commence à attraper son bras et à l'examiner aux doigts puis avec ses lèvres, remontant jusqu'à son épaule, puis pose ses lèvres dans son cou, en même temps qu'il glisse ses mains sur sa taille. Pourquoi il hésite encore, déjà ?

Je le savais bien, qu’on pouvait hyper bien s’entendre sur un truc, vous voyez, et franchement, je trouve ça tellement mieux que passer mon temps à chercher une quelconque vengeance. Et puis, limite, je suis presque sûre que Cordelia a prévu un truc pour lui, voyez, pour se venger à son tour, donc voilà quoi. « la prochaine fois, t’éviteras de me laisser seule dans un endroit pareil, alors. » bah ouais, on aurait pu enterrer la hache de guerre plus rapidement. Enfin, je sais même pas si on peut appeler ça une guerre voyez, mais bon. Il aurait pu m’y tenir compagnie. Quoi que j’étais un peu attachée à une chaîne, ça aurait fait bizarre. C’est pas mon truc d’être ligotée pendant l’acte, voyez, je préfère .. contrôler un peu ouais. ENFIN BREF. Il s’approche pour me murmurer qu’il est d’accord. Et même plus. Et un sourire satisfait se trace sur mon visage. Ses lèvres s’approchent des miennes, mais, c’est tout, parce qu’il s’éloigne, aussi vite. Je fronce un peu les sourcils. Qu’il tente pas de se foutre de moi non plus hein. Il parle maintenant de morsures de requins ou de moustiques, histoire de « vérifier » oui oui, vérifier mon corps, et lorsqu’il décide de le vérifier avec ses lèvres dans mon cou, là, hm, ça commence à me plaire sérieux. Mes mains glissent, passent de sa nuque à ses cheveux, ses épaules, sous son t-shirt, enfin, un peu partout quoi. Et puis, je me recule un peu, me décolle de lui pour me poser contre le plan de travail (ouais, ouais, j’ai vérifié avant, y’a pas de couteau ni de bouffe, quand même) sans le quitter des yeux, et mes doigts attrapent mon t-shirt pour l’enlever et le laisser tomber à mes pieds. « j’imagine que ce sera plus facile pour toi de vérifier, comme ça. » je lui lance, maintenant en jupe et soutien-gorge, en me mordillant la lèvre inférieur, attendant qu’il revienne vers moi.

Non mais y a deux minutes, il pensait qu'elle allait le tuer, il songeait à la tuer avec son couteau, mais voila qu'il est en train de caresser et d'embrasser son corps. Ca a l'air tout à fait normal en plus. Genre aucun problème. Ca va juste un peu vite pour Tyger qui aime prendre son temps et pas tirer un coup en deux minutes. Mais sur le principe ça lui dit juste tellement bien. Il espère juste pas qu'elle va faire comme les femmes fatales et d'un coup sortir un couteau et faire "non j't'ai bien eu !". En même temps ce serait plutôt le genre des filles comme Cordélia et Eukleia qui semble poser en priorité leur honneur alors que Fauve préfère coucher. Non mais franchement pourquoi il hésite. Elle est canon. Bon elle manque peut-être un peu de poitrine, mais vu les nuits passées avec les deux copains d'Absinthe il en a un peu marre en fait. Au moins Fauve risquera pas de l'étouffer. “ La prochaine fois, je propose qu'on s'enferme dans un coin ou personne puisse venir nous déranger. Ou... maintenant tout de suite en fait. ” Bon la cuisine c'est pas forcément le meilleur endroit non plus, surtout que c'est bientôt l'heure de manger, alors il faut faire vite. Mais il aime tellement prendre son temps. Il aime pas se faire arnaquer sur la marchandise. D'ailleurs Fauve semble avoir la même préoccupation d'engagement qualité parce qu'elle enlève direct son T shirt. Ce sera parfait pour vérifier la marchandise en effet. Tyger la pousse un peu en arrière et continue d'inspecter son cou -toujours avec les lèvres, la seule façon d'inspecter correctement vous savez - puis descend vers sa poitrine, pendant que ses mains sont posées sur ses hanches. La tension commence à monter, Tyger commence à avoir un peu plus chaud, et espère que ce qu'il fait à Fauve la met dans le même état. Il relève la tête un peu avant de murmurer, se rapprochant au fur et à mesure de son visage, si prêt qu'il pourrait l'embrasser. “ Je crois que tout est parfait dans cette zone. Je demande a examiner le reste, maintenant. ” Il termine sa phrase en posant ses lèvres sur les siennes et commençant à l'embrasser langoureusement. Ses mains jouent un peu avec le bord de sa jupe, impatient de pouvoir tester le reste de la marchandise.

S’enfermer quelque part avec Tyger ? Ah non mais je suis pour. A 200% en fait. Ou même plus. Ouais, vachement plus, 200%, c’est carrément pas assez. « maintenant, ça me semble parfait. » bah ouais. Je ne vois pas pourquoi on devrait attendre un peu plus de temps, vous voyez, et j’en ai clairement pas envie, maintenant que je suis lancée, hm. Par contre, c’est vrai que j’aurais pu attendre un autre moment, quand même, pour lui lancer ma proposition. Parce que, dans la cuisine, là, tout de suite, sachant que n’importe qui peut débarquer, ça me parait assez risqué. Mais tant pis. Limite si c’est pas plus excitant, voyant. D’ailleurs, en parlant de ça, je commence sérieux à avoir chaud, moi, lorsqu’il vient vérifier mon corps. D’autant plus lorsqu’il vérifie ma poitrine, toujours avec ses lèvres, là, voyez, je me félicite de lui avoir proposé ça hein. J’affiche même un sourire, style, comblée, parce qu’il vérifie bien, le gars, quand même. Jusqu’à ce qu’il relève sa tête, je… reviens sur Terre, on va dire, ouais, voilà. Parfait. Tu m’étonnes mon gars. Je n’ai pas le temps de répondre à sa demande – d’examiner le reste- parce qu’il commence à vérifier mes lèvres. Mes bras entourent sa nuque, ma langue se perd pour venir jouer avec la sienne, et je réponds fougueusement à son baiser. Ses mains tirent un peu sur ma jupe, qui reste bien en place, il n’a qu’à l’enlever, lui, cette fichue jupe. Mes doigts glissent de ses épaules, arrivent au niveau de son pantalon. Ouais, ouais, j’ai assez confiance à la qualité, personnellement, voyez. Et puis, je ne suis pas des plus patientes, carrément pas. Mes mains passent sous son t-shirt, prenant quand même le temps de vérifier ses abdos, hm. Et elles redescendent très vite au niveau de son pantalon, tirant un peu pour coller son corps au mien. Et puisqu’il ne semble pas décidé à enlever ma jupe lui-même, je lâche son pantalon pour dézipper la fermeture éclair et laisser le vêtement atterrir au sol.

Dans la tête de Tyger, il y a deux choses qui se battent, l'envie de dévorer Fauve le plus vite possible et l'envie de résister et de faire durer le plaisir. Ouais en gros c'est plutôt son entrejambe et sa tête qui se battent en duel. Sauf qu'en plus de ça y a le fait qu'ils ont décidé de passer à l'action dans la cuisine, et à l'heure où quelqu'un pourrait débarquer à tout moment. C'est encore plus excitant, mais autant Tyger aime prendre son temps, autant il a pas envie de se faire ruiner son coup. Alors il se décide finalement après avoir joué à se rapprocher de ses lèvres sans les toucher, à croquer la vie à pleine dent et à partager un baiser langoureux, fougueux qui lui donne envie de ne plus se retenir du tout. Putain, dire qu'il croyait qu'elle lui en voudrait, elle a une drôle de façon de lui en vouloir. Bon après c'est pas comme s'ils allaient être amis pour la vie mais bon. Ils continuent toujorus à s'embrasser, et pendant ce temps les mains de Tyger jouent à se glisser sous sa jupe, pendant que celles de Fauve viennent sur son pantalon. Elle finit par défaire sa jupe qui glisse par terre. Tyger défait sa fermeture éclair et descend alors son pantalon. Ne les voici plus séparés que par quelques bouts de tissus. Il retourne à ses lèvres pour les embrasser, puis l'attrape par la taille pour la porter et venir la déposer doucement sur la table. Il quitte son visage pour porter son attention sur cette petite culotte qu'il fait glisser le long de ses jambes, avant de la jeter plus loin. Il lui lance un regard langoureux avant de continuer à l'embrasser, mais en bas cette fois.

Ma jupe glisse, et il ne tarde pas à faire la même chose avec son pantalon, si bien qu’on se retrouve vite en sous-vêtements. Dans la cuisine. A cette heure. Je prie sincèrement pour qu’aucun candidat ne passe pas par là. Non, parce que vu qu’on a réussi à me casser mon coup dans une chambre, fermée et tout, là, voyez, ce serait limite plus que probable que ça se reproduise, et que quelqu’un débarque (et pourquoi pas que je me ramasse un autre seau d’eau par la tronche, pour bien faire) donc bon, disons que je ne serais pas énormément surprise, voyez. Mais pour le moment, personne ne vient, et il me pose sur la table, alors je profite de ses lèvres qui viennent chercher les miennes, et de son corps aussi que mes mains caressent. Il se débarrasse de ma petite culotte qu’il envoie valser plus loin, et là, et là, je.. voilà. J’ai trop chaud, beaucoup trop chaud, et je ferme les yeux, quelques secondes, je soupire un peu trop, et ma main s’agrippe au rebord de la table. Sauf que ça ne me plait pas trop. Enfin, si, mais, non. J’ai pas l’habitude. Je veux pas qu’il prenne son temps, comme ça, je veux pas m’enflammer simplement au contact de ses lèvres non plus. C’est pour ça que mes mains viennent le chercher, qu’il remonte, qu’il arrête, qu’on passe à l’acte, vraiment, maintenant. Je l’embrasse, un peu plus pressée, et mes mains descendent, pour faire glisser son boxer.

Spoiler:

Tyger essaie de faire monter Fauve au septième ciel, et il la sent se réchauffer de plus en plus, comme si elle brûlait de l'intérieur sous sa bouche. D'habitude il aime bien utiliser son don également, pour la bonne cause eh, pour donner à sa partenaire encore plus de sensations, voire un orgasme. Allez pas dire maintenant qu'il est nul au lit parce qu'il triche eh. Mais il a l'impression que Fauve n'en a pas besoin du tout, il est persuadé qu'elle adore ça. Qui n'aimerait pas ça après tout ? Mais alors qu'il prend son temps, augmentant à chaque seconde le risque que quelqu'un se pointe et découvre leur petite affaire, Fauve décide de l'arrêter en pleine action en attrapant sa tête, et en le faisant se redresser jusqu'à la sienne. Tyger est un peu surpris, il aurait bien voulu continuer, mais les désirs de madame sont des ordres. Elle l'embrasse, un peu plus vite. Fini de prendre son temps, fini les préliminaires apparemment. On va passer aux choses sérieuses. Elle fait déjà tomber son boxer. Bon quand même, il veut pas non plus se précipiter, il s'éloigne un peu d'elle tout en gardant contact avec elle en tenant sa main, le temps d'aller chercher une capote dans la poche de son jean - eh ouais, il a pas trop envie ni de se choper une MST qui traine, ni de devenir père. Il fait le plus vite possible pour se remettre dans la même position que tout à l'heure. Il lui vole un petit baiser avant d'enfiler son préservatif alors qu'il est bien bien chaud maintenant pour passer à table. Et comme on dirait pour faire une métaphore informatique, il met sa clé dans son port USB.

Spoiler:

Il n’a pas l’air contre pour arrêter tout ça. Préliminaires, tout ça. Non, franchement, je n’ai pas l’habitude de tout ça, je crois, et je préfère autant aller au principal, là, tout de suite, ça correspond plus à ce que je connais, c’est mieux, je crois, franchement mieux. Il s’éloigne, mais il ne me lâche pas. J’aurais pu croire qu’il comptait me laisser en plan, sinon. Sérieux. Faut que j’arrête de me méfier des types, parfois hein. C’est vrai que je suis un peu parano, parfois. Presque tout le temps. N’empêche qu’il pourrait très bien se barrer, là, Tyger, pour me laisser en plan comme la dernière des connes, ce serait une putain de vengeance pour le poing du prime. Mais il ne le fait pas. Faut dire qu’il s’est déjà vengé. Mais il aurait pu être plus affreux, voyez. Mais il revient vite, alors ça va, ouais. Préservatif. C’est mieux, carrément. Face à moi, j’ai du mal à détacher mon regard de lui, et il réduit le peu de distance qui nous séparait encore à néant. Mes jambes s’enroulent autour de son bassin, pour le coller plus encore contre moi, je veux pas qu’il parte, je veux pas. Ma main reste agrippée à cette fichue table, comme si je craignais de me péter la gueule juste là, voyez, et mon souffle, lui, il déraille carrément, là. Mon autre main se balade, caresse sa peau, notamment ses fesses, mais c’est pas assez, en fait, je crois que c’est pas assez. Je me redresse, alors, pour être plus proche de son corps, collée contre, je veux pouvoir le sentir contre moi, vraiment. Mes mains s’accrochent à ses épaules, mes lèvres frôlent les siennes pour l’embrasser.

Spoiler:

Tyger aurait tellement bien voulu prendre son temps avec Fauve, mais il aurait peut-être fallu que ca ne se passe pas au milieu de la cuisine à une heure de grande écoute. Ils sont un peu préssés de se réconcilier vous voyez en plus. mais il commence à se demander si elle a pas juste envie de se tirer des petits coups vite fait et jamais d'en profiter longuement. C'est pas trop trop son délire Tyger d'habitude, mais c'est excitant, et alors qu'il fait des va-et-vient en elle, ce n'est plus de l'excitation qu'il sent monter en lui. La voila qui commence à le retenir avec ses jambes. Maintenant elle ne veut plus le laisser partir ? Il veut bien lui, rester un peu plus. Mais il ne peut pas s'empêcher de se dire ce qui se passerait si quelqu'un débarquait, genre sa soeur, ou Cordélia, ou Eukleia qu'il a failli tringler, ou pire la vieille... Elle irait surement les flageller en place publique, ou elle voudrait se joindre à la fète. Eurk, mais pourquoi il pense à la vieille toute ridée alors qu'il se tape une des meufs les plus canons du jeu ? (Après Vixouille bien sûr) Enfin bref, tout ça lui donne en fait envie de s'accélérer et d'en finir, tout autant que l'envie de faire durer le plaisir jusqu'à risquer d'être découvert. Mais il n'a plus beaucoup le temps d'y penser qu'il doit se concentrer à nouveau sur sa partenaire qui se redresse vers lui pour l'embrasser. Il lui rend son baiser sur les lèvres et dans le coup, alors que ses mains tiennent bien fermement ses cuisses. Il est près, tout près, et laisse échapepr un gémissement alors que... des bruits de pas se font entendre dans le couloir. Mais lui bien sûr il est trop occupé eh.