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 lilou, 19 ans, humaine (aspiration de l'énergie vitale).

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La Vieille Fée

La Vieille Fée

~ MESSAGES : 1586
~ INSCRIPTION : 12/08/2012


lilou, 19 ans, humaine (aspiration de l'énergie vitale). Empty
MessageSujet: lilou, 19 ans, humaine (aspiration de l'énergie vitale).   lilou, 19 ans, humaine (aspiration de l'énergie vitale). EmptySam 7 Sep - 10:29




lilou

âge : tout juste dix-neuf ans. race/pouvoir : humaine, aspiration de l'énergie vitale. traits de caractère : attentionnée, bienveillante, désordonnée, distraite, émotive, maladroite, maniaque, nerveuse, sensible, obéissante -parfois-, irréfléchie, spontanée, inconsciente, lâche, naïve, optimiste, nerveuse, curieuse, empathique.   citation : « la vie, je la veux, je ferai n'importe quoi pour l'avoir, toute la vie possible, même si je deviens folle, peu importe, je deviendrai folle tant pis mais la vie je ne veux pas la rater, je la veux, vraiment, même si ça devait faire mal à en mourir c'est vivre que je veux. J'y arriverai, n'est-ce pas ? N'est-ce pas que j'y arriverai ? » chanson : flight facilities - clair de lune ft christine hoberg . péché mignon : elle a perdu son père, en le vidant de toute son énergie vitale. orientation sexuelle : euh.


« Bienvenue Invité, ne sois pas mal à l'aise voyons, je ne vais pas te manger. Ou tout du moins la chaîne de production me l'a déconseillé. Ce serait bête de gaspiller un candidat potentiel.. alors, peux-tu d'abord me dire en quelques mots à qui j'ai affaire ? T'es qui, comment ? T'es du genre gâté(e) par la nature ? »
Je ne suis pas mal à l’aise, ce n’est pas vrai, je ne le suis pas, je vous jure, je ne le suis pas, Lisa m’a dit qu’il ne fallait pas l’être, alors je ne le suis pas, moi, elle m’a dit que ça ira bien. Je la crois. Ça ira bien. Si je parle un peu vite, et que c’est un peu confus, un peu brouillon, ce n’est pas parce que je suis mal à l’aise, j’ai pas peur, j’ai pas de raison d’avoir peur, je parle toujours comme ça, il me semble, c’est vrai que je suis un peu nerveuse, quand même, mais un petit peu, rien qu’un petit peu, je vous promets, ce n’est pas vous, c’est toujours comme ça, toujours pareil… Excusez-moi, je parle trop. Oui, oui, je vais faire ça, vous dire qui je suis, enfin, je vais essayer, je me suis entraînée avec Lisa, pour bien répondre, bien comme il le faut, pour être précise et brève. Elle dit que c’est important, Lisa, de ne pas trop parler. Je crois que je parle déjà trop. Je parle trop ? Pardon, oui, désolée. Je m’appelle Lilou. Voilà. Oui, Lilou, c’est mon prénom. Lilou, deux syllabes, c’est simple, c’est vraiment simple, comme prénom. J’habite –est-ce qu’il faut que je vous dise où j’habite ? …  Ah, d’accord. J’habite avec Lisa, moi, depuis quelques mois, et c’est bien, comme ça, j’aime bien l’avoir à mes côtés. C’est mieux, de toute façon, je crois que je ne pourrais pas faire autrement, moi, je n’aime pas ça, quand elle n’est pas là. C’est vrai. […] Je ne sais pas par où commencer, moi, je n’ai pas l’habitude de faire ça, je ne sais pas comment on doit faire. Et puis, je ne m’en rappelle plus, de ce qu’on a dit, avec Lisa, enfin, plus beaucoup, et j’essaie de m’en souvenir, juré, mais ça veut pas, ça me revient pas, j’y arrive pas, à me rappeler, mot pour mot, de ce que je dois dire, c’est tout parti…  Sensible. Voilà. Lisa dit que je suis sensible, trop sensible. Ou émotive. Je ne sais plus le mot. C’est presque pareil ? Bon, je ne sais pas. Mais elle dit que je le suis trop, en tout cas, ça. C’est les émotions, elles viennent comme ça, et moi, je ne sais pas quoi faire, avec tout ça, Lisa, elle les contient, les émotions, elle montre ce qu’elle veut montrer, et seulement ça. J’y arrive pas, moi, à faire ça, j’y arrive jamais. Vrai que je ris facilement, ou que je pleure facilement, mais il ne faut pas, ça, je le sais, il faut que je sois plus comme Lisa. Parce que Lisa, elle est forte. Juré, vous la verrez, et puis, ça se voit tout de suite, rien que sur son visage, à Lisa, elle n’est pas faible, je vous promets, pas elle, elle ne craque pas, jamais,  elle est tout comme il faut, Lisa, ça se dégage de son visage, sa force, juré, je vous mens pas, moi, c’est la vérité. Je… Je suis désolée, j’y arrive pas, à vous répondre comme il faut, je crois, c’est pas fait exprès, je veux pas vous fâcher, ah ça non, mais j’ai du mal à trouver les bons mots, c’est ça, le soucis, je les trouve pas, les mots. Lisa, elle y arriverait, elle, vous savez, elle n’est pas loin, elle m’attend, je suis sûr qu’elle y arriverait mieux, elle parle bien Lisa, elle ne perd pas ses mots, et on la comprend toujours, Lisa, et puis, ce serait mieux avec Lisa, je le comprends, je crois, que ça va pas, là, n’est-ce pas, que ça va pas ? Je parle trop vite, vraiment trop vite,  je veux pas vous agacer, c’est juste que dans ma tête, c’est… ouah, je saurais pas vous dire, mais c’est tout emmêlé, voilà, mais c’est mieux, quand Lisa est là, promis, elle me calme, Lisa, je panique pas quand elle est là, c’est pour ça, je suis sûre que ce serait mieux, si elle venait, et elle vous parlerait bien mieux que moi, elle, elle répond bien aux questions. […] Elle ne peut pas venir ? Ce n’est pas autorisé ? Ah, d’accord, non, d’accord. Est-ce qu’on peut changer de question ?  
« Oh, je vois. Au fait, ne t'inquiète pas si mes cheveux changent de couleur, c'est en fonction de mon humeur. Dis-moi mon chou, pourquoi veux-tu tenter cette aventure ? Il faut avoir des melons dans le caleçon tu sais.. C'est loin d'être de tout repos. »
Est-ce que j’ai dit quelque chose de mal ? Enfin, si tu. si vous changez d’humeur, c’est parce que j’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? … Non ? Bon, d’accord, pardon, pardon, excusez-moi, je pose trop de questions, je sais bien, c’est pas à moi de poser des questions, je dois répondre, juste répondre, et puis c’est tout. Je. Ouah, je. Je me rappelle plus du tout, de ce qu’on avait préparé, avec Lisa, pour cette question, enfin, je m’en rappelle un petit peu, quand même, mais je sais plus le début, voilà, c’est comme une poésie, quand on doit la réciter, si on perd le début, c’est foutu, ouah, c’est vraiment foutu, parce qu’on y arrivera jamais, jamais, et on panique, de plus en plus, y’a quelque chose, là, à l’intérieur, qui monte, qui monte, et puis c’est trop tard, en plus, pour que je récite ce qu’on a dit, avec Lisa, j’en suis sûre, ça peut pas marcher, maintenant que j’ai commencé comme ça, ça marchera jamais, vous allez pas y croire, et j’aime pas, moi, mentir, c’est vrai ça, c’est pas une bonne chose, de mentir, ça l’est jamais. Lisa, c’est elle, elle veut participer, elle le veut vraiment. C’est pour elle que je postule, voilà. Je sais bien que ça va pas, que je suis pas comme il le faut, pour participer, mais c’est pas grave, je vous jure, ça me dérange pas, je veux bien faire semblant, moi, ah, s’il n’y a que ça, juré, je vais faire semblant d’être comme il le faut, et puis d’avoir envie de faire tout ça, ce sera pas difficile, avec Lisa, je suis sûre. Mais je veux pas être séparée de Lisa, il faut pas, j’ai besoin d’elle, c’est pour ça, si vous prenez Lisa, il faut que je vienne avec elle, je peux pas, sans elle, je peux pas, moi. C’est vrai que c’est peut-être maigre, comme motivation, à vos yeux, mais en vrai, promis, ça l’est pas vraiment, parce que c’est pour Lisa, et j’en suis capable, pour elle, juré, il faut me croire.
« Si tu penses rejoindre le casting, c'est que tu as une spécificité, un atout qui te rend spécial. Alors c'est quoi ton pouvoir ? Tu caches des crocs, tu peux maîtriser l'eau ou bien tu sens le chien mouillé à chaque pleine lune ? je t'en prie, pitié, surprends-moi. »
C’est pas un atout que j’ai, c’est pas vrai, c’est pas quelque chose de bien, ni de bon, ah ça non, ça fait trop de mal autour de moi pour que ce soit une bonne chose. J’absorbe l’énergie vitale des gens, enfin, je crois, je ne sais pas trop si c’est bien le bon mot, mais il me semble que ça correspond, je pense, je ne sais pas, moi, on m’a rien dit, rien expliqué, c’est comme ça, elle dit, Lisa, que c’est comme ça. Et puis, de toute façon, je veux pas savoir, moi, non, non, je veux pas le connaître mieux, ça, j’aime pas, elle a raison, Lisa, c’est comme ça. Je peux juste vous dire que ça se passe quand j’embrasse les gens, là, sur la bouche, pas autre part, juste la bouche, c’est tout, ça se fait tout seul, comme ça, moi, je demande jamais rien, mais ça se fait, quand même, comme ça, je sais pas pourquoi, ni comment, juré, je sais pas moi. Le problème, c’est que, que… ouah, Lisa, elle explique ça beaucoup mieux que moi, je vous jure, elle y arrive mieux, elle, à expliquer tout ça, moi j’y pense, et puis, j’arrive pas à trouver les mots que je veux, enfin, ça me tue. Voilà, ce que j’ai, ça me, ça me fait ça, parce que, parce que, ouah, ce que je prends aux autres, c’est ce que je n’ai pas. Je crois que c’est ça, voilà, je n’ai pas de… d’énergie vitale, si c’est le bon terme, je ne sais pas, moi. Ou peut-être que si, j’en avais, avant, à moi, rien qu’à moi, mais, j’en ai plus. Je ne sais pas. Mais ce que je sais, c’est que si je ne prends pas cette énergie, là, à quelqu’un, je ne vais pas bien, voilà, je ne vais pas bien.  C’est pour ça que si vous prenez Lisa, je dois venir avec elle, je ne peux pas me passer d’elle moi, c’est elle qui me sauve, toujours, toujours, c’est elle, si je suis vivante, bien vivante, moi, c’est parce qu’elle est là avec moi tout le temps. Je le fais qu’avec elle, ça. L’embrasser, et puis, prendre un peu de son énergie. Je peux pas, avec les autres, ça, ça se passera mal, avec les autres. Moi, je peux pas m’arrêter, quand j’embrasse, j’y arrive pas. C’est vrai que j’aimerai pouvoir dire que ce n’est pas de ma faute, si j’en veux toujours plus, que ce n’est pas moi, mais … je suis là, quand même, voilà. La vérité, c’est qu’il y a quelque chose qui rentre en moi, ou peut-être que ça rentre pas vraiment, mais que ça y est, là, caché, quelque part, que ça y est toujours, mais quand ça commence, que le transfert se fait,  c’est là, vraiment là, je le sens. Il y  a ça et il y a moi. C’est vrai que j’aimerai l’accuser, cette chose, ce sentiment, cette émotion, je ne sais pas ce que c’est, mais c’est de ma faute, parce que je suis consciente, je le sais, moi, je sais le mal que je fais, je sais que je tue, petit à petit, mais je ne peux pas m’arrêter, je ne veux pas, voilà, je veux vivre, là, d’un coup, comme ça, et le reste… je saurais pas dire, moi, mais le reste, je le néantise, voilà. C’est pour ça, aussi, que je fais ça qu’avec Lisa, parce que Lisa, elle peut m’arrêter, elle y arrive, Lisa, moi, j’en suis incapable, mais elle, elle peut, avec son pouvoir, elle est forte, elle m’éloigne, quand il le faut, et elle le fait au bon moment, toujours. C’est calculé, c’est précis, elle le sait, à la seconde près, quand c’est trop, Lisa, parce qu’à quelques secondes près, on va trop loin, et là, et là c’est trop tard, voilà, trop tard, parce qu’elle perd sa force, Lisa, pour me la donner, un petit peu, mais il faut qu’il lui en reste suffisamment pour qu’elle puisse utiliser son pouvoir contre moi. Sinon je la perds, et je veux pas la perdre moi, ah ça non, je veux pas.
« Hm, intéressant. Et tu n'as pas peur de te faire dévorer tout cru, chéri(e) ? Parce que bon, les mauviettes on les recale. Alors, quelles sont tes forces et tes atouts ? Histoire qu'on se retrouve pas avec un mort, ça nous ferait  une mauvaise pub. »
Ah non, ça non, j’ai pas peur, promis, madame la fée, moi j’ai pas peur, parce qu’il y aura Lisa, et il peut rien nous arriver, à nous, quand on est ensemble, c’est comme ça, il peut rien nous arriver de grave, c’est vrai, je ne mens pas, j’oserai pas. Faut pas me recaler, je suis pas une mauviette, c’est pas vrai, j’ai pas peur, j’ai peur de rien, moi, juré. C’est vrai que j’ai rien vu encore, moi, que je sais pas grand-chose, que je connais rien, rien, rien, mais c’est pas grave, ça, je suis sûre que c’est pas grave, je peux apprendre, j’apprends bien, c’est facile, ça, il suffit d’être concentré, et de refaire pareil, bon, c’est vrai que j’ai du mal à être concentrée moi, parce que je pense à pleins de choses au mauvais moment, toujours, mais je ferai un effort, et je sais refaire ce que les autres font, c’est pas compliqué, c’est vrai, il suffit juste de copier, voilà, je sais faire, ça, je pense. Et c’est pour Lisa. Je ferais tout pour Lisa, j’en suis capable, faut pas en douter, je peux faire ce que vous voulez, moi, c’est pas un problème, je peux obéir, suivre vos règles, m’entraîner, longtemps, tout le temps, ça me dérange pas, voilà, je veux pas décevoir Lisa, moi, c’est tout, je veux pas.
« D'accord. Et en contrepartie, on aimerait savoir tes faiblesses. Alors tu fais souvent pipi dans ta culotte ? Devant quel genre de situations ? sois honnête avec moi, l'important est de savoir si tu n'auras pas peur de te jeter dans la fosse aux lions.  »
C’est vrai que je perds facilement mes moyens quand Lisa, elle n’est pas là, que je panique, un peu, rien qu’un peu, mais je sais pas si ça va, ça, comme réponse, comme faiblesse, il faudrait me dire, à moi, ce que vous attendez comme réponse, c’est vrai, peut-être que ça va pas du tout, ça, je sais pas, mais c’est vrai, en tout cas, que ça va pas quand je sais pas où elle est, Lisa, parce que je me pose pleins de questions, le genre de questions qui restent là, dans votre esprit, et puis, ça vous fait perdre la tête, vraiment, voilà, c’est ce genre de questions-là, celles qui font perdre la tête, qui me font avoir des réactions excessives, et ridicules, ouah, mais c’est comme ça, quand elle est pas là, voilà, mais ça devrait bien aller, dans le jeu, elle sera là, hein, qu’elle sera là, ça ira. Je ne réfléchis pas toujours. Peut-être que c’est une bonne réponse, ça, une meilleure faiblesse ?   Je ne sais pas. Mais c’est vrai, je crois, j’agis souvent sans réfléchir avant, savoir si c’est une bonne chose ou non, ce que je fais, ça, ça vient après, juste après, tous les doutes, en même temps que les remords, voilà, je réfléchis trop tard, moi. Parce que j’essaye de faire les choses comme il faut moi, toujours, d’être quelqu’un de bien, mais je fais souvent des caprices, des bêtises, et après, ça va pas, parce que je regrette, voilà, et ça fait du mal à quelqu’un, ça fait toujours du mal à quelqu’un. Et c’est pas ce que je veux, et ça n’arrivait pas si je réfléchissais, un petit peu, rien qu’un petit peu, je crois, et au bon moment, surtout. Voilà, je ne prends pas le temps de penser, je vais trop vite, moi. Et puis, des situations, ça non plus, je sais pas, moi. Sans Lisa, vrai. Et peut-être aussi les capacités des autres gens comme nous, avec Lisa, leur pouvoir, à eux. Je veux pas qu’ils puissent rentrer dans ma tête, voilà, je veux dire, je veux pas qu’ils sachent, qu’ils puissent voir ce qu’il y a, et je veux pas qu’ils changent tout, qu’ils m’embrouillent, qu’ils fouillent, des souvenirs, des pensées, ah, non, je veux pas les sentir, là, dans ma tête, ils ont pas le droit, pas ça, je veux pas, ça me donne l’impression de devenir folle, là, leur présence dans ma tête, ils peuvent pas.
« Eh bien, ça promet tout ça. Tu es conscient que tu vas être "couplé" avec un autre candidat ? Inutile de préciser que tu ne pourras le cogner que lors des duels. Tu appréhendes cette cohabitation ou tu lui feras des bébés ? parce que oui, vous partagerez le même lit. »
Il faut que je sois avec Lisa. Enfin, c’est vrai qu’on en a parlé, de ça, avec Lisa, et puis, elle m’a dit Lisa que ce ne serait pas possible, qu’on ne serait pas toutes les deux, en équipe, parce qu’on se connait trop, pour ça, et que ça marcherait pas, du coup, mais ce serait mieux, juré, que ce serait mieux, on dérangera pas les autres nous, toutes les deux, et puis je serais bien incapable de lui faire du mal à ma Lisa c’est pas possible ça je peux pas être contre elle. Et puis elle sait Lisa, elle sait tout, elle comprend, aussi, elle me forcera pas à utiliser mon pouvoir, elle sait que c’est jamais une bonne chose, elle m’obligera à rien, Lisa. Mais s’il faut vraiment, vraiment, qu’on ne soit pas ensemble, toutes les deux, d’accord, voilà, j’ai promis à Lisa que ça irait quand même, que je ne ferais pas de caprice, rien, tant pis, mais j’ai pas envie de dormir avec quelqu’un que je ne connais pas moi, je veux dormir avec Lisa, on dort toujours ensemble, ce serait bizarre, sinon, ouah, ce serait vraiment trop bizarre.
« Et pour finir, le mot de la fin. Parce que bon, j'ai pas que ça à faire moi, interviewer les centaines de ploucs qui veulent participer. Qu'est-ce qui fait de toi, en une phrase, celui ou celle qui va tous les dégommer ?  »
Lisa.
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